Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Comment la notion aristotélicienne de puissance s'est-elle constituée ? Comment Aristote peut-il désigner du même nom de dynamis à la fois le principe du changement et l'être en puissance en tant qu'il est distingué de l'être en acte ? L'histoire de la dynamis correspond-elle à l'effacement d'un sens primitivement intensif, qui serait celui de la force, au profit du sens aristotélicien de potentialité ? Plutôt que d'aborder ces questions dans les limites d'une lecture interne du Livre Thèta de la Métaphysique sur la puissance et l'acte, ou même du corpus aristotélicien, la présente recherche plonge d'abord la notion de puissance dans son histoire pré-aristotélicienne, philosophique et non-philosophique. Si les termes d'energeia et d'entelekheia, par lesquels Aristote désigne ce qui est en acte, sont des néologismes qui possèdent la précision du vocabulaire technique, le mot dynamis appartient en effet au grec courant et comporte une polysémie qui complique la compréhension de son usage.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !