80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Une série d'autoportraits aux miroirs, aux psychés, révélant au travers des multiples reflets des visages de l'auteur et de l'enfant, la petite fille, un voyage intérieur au coeur de l'identité et de la féminité. La beauté de ces photographies, et le jeu entre ombre, lumière et clair-obscur, transcendent le questionnement que nous évoquent ces images. Dolorès s'y donne et s'y absente à la fois. Dolorès est invisible, seule. Son visage s'évanouit et traduit l'incarnation de ses émotions, de son intériorité psychique.(...) La mise en lumière éclaire ces portraits d'une proximité et d'une distance particulières, traduit le voyage, charnel et psychique à la fois, qui habite Dolorès et nous permet d'y inscrire notre propre rêverie. Ces photographies évoqueraient des "icônes" au sens sâcré du terme, les images d'une souffrance ou d'une extase, sur lesquelles la lumière, l'ombre et la déformation dans le reflet se font interrogations, énigmes, créations.
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