80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Pourquoi la France, hier " fille aînée " de l'Eglise qui, au XXe siècle, ne compte-t-elle plus de grands intellectuels catholiques? Pourquoi l'Eglise, qui a formé des générations de militants pour la politique ou le syndicalisme, a-t-elle perdu aussi ses grands mouvements de jeunes et d'adultes qui voulaient, à la fois, changer la France et rechristianiser le pays ? Pourquoi la France n'ordonne plus qu'une centaine de prêtres par an, au lieu de mille avant les années 60 ?
Henri Tincq retrace l'histoire des quarante dernières années du catholicisme français: crise des intellectuels, crise des militants, crise du clergé, crise des fidèles, crise du dogme et de la norme.
Les crises du catholicisme sont les symptômes d'une société française également malade. Les religions peinent à y trouver leur place. Les " absolus " religieux irritent. On ne retient du discours de l'Eglise que les interdits sur la contraception, l'avortement, le préservatif...
L'Eglise connaît une traversée du désert qui risque de durer longtemps. Comment retrouver une crédibilité intellectuelle, renouer le dialogue avec le monde politique, artistique, médiatique, scientifique ? Comment être davantage présente au monde, audible et pertinente ? L'Eglise n'a d'avenir que si elle redevient une force de proposition, d'accueil et de tolérance dans un monde de violences et de conflits.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année