Classer comme une espèce en danger (IUCN), Propithecus coronatus devrait figurer parmi les priorités des biologistes de conservation. Le souci de conserver oblige à déterminer les facteurs qui les mettent en danger. Des observations comportementales d'un groupe de P. coronatus à l'aide de la méthode « scan sampling » pour déterminer le mode d'adaptation de l'espèce dans son habitat. Associée avec les méthodes botaniques, on a pu déterminer la qualité de l'habitat par l'intermédiaire des paramètres structuraux. Alors que la viabilité a été déterminée par le biais du taux de la régénération de la végétation. Comme résultats, les activités de l'espèce sont fonction des paramètres structuraux des arbres. Le site est caractérisé par sa pauvreté spécifique. Ces résultats suggèrent que le feu présente une répercussion négative du côté richesse et distribution de l'espèce floristique du site. La fréquence d'occupation d'une zone est déterminée par l'abondance des nourritures. Ce qui tend à dire la présence des microhabitats à l'intérieur de la forêt d'Amboloando.
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