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Destins croisés

Couverture du livre « Destins croisés » de Sylvie Godefroid aux éditions Societe Des Ecrivains
Résumé:

Sylvie Godefroid... Authenticité, simplicité, efficacité... trois mots qui décrivent bien le style de la romancière, parolière et poète qu'est Sylvie Godefroid. En janvier 2006, cette jeune femme de 33 ans nous avait donné un très émouvant premier roman " La Verve Assassine " (Editions La... Voir plus

Sylvie Godefroid... Authenticité, simplicité, efficacité... trois mots qui décrivent bien le style de la romancière, parolière et poète qu'est Sylvie Godefroid. En janvier 2006, cette jeune femme de 33 ans nous avait donné un très émouvant premier roman " La Verve Assassine " (Editions La Société des Ecrivains, Paris). Voici aujourd'hui " Destins Croisés ", son deuxième livre, tout aussi passionnant par son récit, original par sa forme et brillant par la qualité de son style ! Nul doute que le nom de cette auteur belge ne s'inscrive désormais aux premières places de la nouvelle littérature belge... Mieux : de la jeune littérature contemporaine de langue française de ce début de 21ème siècle !
Yves Duval, Journaliste

" Destins Croisés " Deuxième roman d'une talentueuse jeune romancière belge, deuxième choc émotionnel pour le lecteur ! En peinture, on appellerait cela du " pointillisme "... En littérature, c'est tout simplement du Sylvie Godefroid ! Et du meilleur... Voici, dans un style d'une efficacité redoutable, fine touche après fine touche, le portrait " croisé " et coloré de différents usagers du tram 92 qui, chaque matin, de la périphérie bruxelloise, se rendent à leurs diverses occupations au centre de la ville. Derrière cette monotone et banale démarche imposée, se dévoilent peu à peu, des existences secrètes, mouvementées, insolites, perturbées, inattendues dont certaines vont s'entrelacer un bref moment... De la douce Sarah qui se refuse de vivre dans une société de l'immédiat et du " prêt à consommer " à cette dame inlassablement vêtue de vert, empreinte d'une tristesse infinie, en passant par bien d'autres usagers tout aussi secrets d'apparence, jusqu'à Miguel, le conducteur qui ne peut s'empêcher de jouer au " latin lover " ! Tous ces personnages de la vie de tous les jours vont, au fil des mots colorés, passer sous le scalpel incisif de l'auteur qui révèle ainsi que, même dans la banalité des transports en commun, le destin n'est jamais loin... Il suffit juste de ne pas oublier de se regarder. Yves Duval, Journaliste

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