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Au début de ce troisième millénaire, la demande de pardon se généralise dans tous les secteurs de la société. Des chefs d'État, des dirigeants religieux, des responsables de communauté font publiquement amende honorable. Même la justice recommande, pour certains crimes, que le criminel demande pardon pour être disculpé. Pourtant, beaucoup de personnes ne savent pas demander pardon sans avoir l'impression de s'humilier. Cette démarche détruirait, pensent-elles, leur dignité. Alors qu'aujourd'hui, l'accent est mis sur l'affirmation de soi, sur la compétition et sur la domination de l'autre, demander pardon ne relèverait-il pas plutôt d'une sorte de masochisme? Ne contribuerait-il pas à entretenir ce sentiment de culpabilité que la plupart des psychologues qualifient de maladie de l'âme? Alors qu'il existe une abondante littérature sur l'art de pardonner à l'autre, les auteurs Jean Monbourquette et Isabelle D'Aspremont abordent ici la question du pardon du point de vue de l'offenseur et non du point de vue de l'offensé. Cet ouvrage explore les diverses façons de demander pardon et en montre tous les effets libérateurs.
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