80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
" Dans notre maison de la vieille Médina, nous menions une vie réglée. Mon père y veillait de manière qui n'admettait aucun écart. Ainsi, il tenait à ce que les repas soient servis à heure fixe. Pour lui, c'était un moment privilégié de communication et d'échange, de leçons de maintien et de conduite aussi. Il n'admettait pas que nous autres enfants parlions la bouche pleine, comme il tenait à ce que nous mangions avec trois doigts seulement : le pouce, l'index et le majeur.
Doué d'un sens inné de l'observation et sans avoir jamais fréquenté les bancs d'une école, ni vécu assez longtemps dans un milieu équilibré, il avait instinctivement compris que l'éducation d'un enfant commence dans la famille d'abord.
Comme un fil d'Ariane, les conseils qu'il me prodiguait me permirent de suivre sans encombre le chemin tracé et d'acquérir les outils nécessaires pour faire face aux épreuves de la vie ".
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