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L'exercice de la critique littéraire est un outil précieux pour revisiter les textes fondateurs, notamment le texte religieux. Ce-dernier se libère et se détache un peu, aujourd'hui, des lectures exégétiques, codées et purement théologiques. Depuis la seconde moitié du XXème siècle, et grâce aux avancées des méthodes critiques et des nouvelles lectures, le texte religieux intègre désormais ce large corpus offert à l'analyse textuelle. Que ce soit dans le cadre de groupes de recherche spécialisés dans ce domaine (comme par exemple le Groupe d'Entrevernes) ou à l'initiative de savants curieux et ouverts aux approches sémiotiques - ou simplement critiques - de la Bible et du Coran (comme, par exemple, Louis Marin, Jacques Derrida, Toshihiko Izutsu, Anne-Sylvie Boisliveau ou Michel Cuypers), le texte religieux intéresse de plus en plus la critique littéraire au sens objectif et constructif du terme. C'est le Coran, parole divine, qui nous intéresse ici. Nous essayons d'y lire un réseau puissant dans la poétique de son texte : celui de la mémoire et de son rapport au dire. Mariant les données scientifiques sur les mécanismes de la mémoire et ce que le Coran nous en dit, nous procédons à la description et à la déconstruction du trajet entre l'oubli et le souvenir dans ce texte religieux.
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