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Non content d'être l'un des réalisateurs les plus talentueux et adulés de sa génération, Quentin Tarantino est peut-être le cinéphile qui sait le mieux parler de films et transmettre sa passion incandescente pour le cinéma. Ayant fréquenté dès son plus jeune âge les salles obscures, c'est au Hollywood des années soixante-dix, celui de ses années décisives de formation, qu'il consacre plus particulièrement Cinéma spéculations - un director's cut aussi intellectuellement rigoureux que joyeusement exubérant. Mêlant histoire personnelle, anecdotes truculentes, analyses et critiques de films, Cinéma spéculations offre au lecteur, entraîné par la verve unique et grisante de Quentin Tarantino, une fascinante leçon de cinéma et de vie.
Quentin Tarantino aime le cinoche, depuis qu’il est tout petit il fréquente assidûment les salles obscures, d’abord enfant avec sa mère, puis adolescent avec les petits amis de sa mère et enfin en solo. Doubles séances dans tous les petits cinémas de Los Angeles, il a très vite une vision aiguë des films qu’il voie, de la dramaturgie, de l’écriture des personnages, de la qualité des scenarii. Des chefs-d’œuvre aux séries Z, Narration acquiert seul, dans son coin, longs-métrages après longs-métrages, la solide culture cinéma qui fera de lui le réalisateur qu’il est : un autodidacte pur sucre.
Dans « Cinéma Spéculations », Tarantino passe en revue les références qui sont les siennes, consacrant un chapitre à un acteur ou un film. J’avoue que beaucoup de comédiens ou des films qu’il évoque ne me disait rien (merci Wikipedia!), et que par conséquent la lecture de son livre n’est pas toujours aisée. Il faut dire que le bougre ne hiérarchise pas trop ses goûts, entre le petit film inconnu et l’immense chef-d’œuvre, il y a un monde pour n’importe qui sauf pour lui ! Les meilleurs chapitres, les plus agréables et pertinents, c’est évidemment quand il décortique des films connus comme « Delivrance », « L’Évadé d’Alcatraz », « L’inspecteur Harry » ou encore « Taxi Driver », des films que j’ai déjà vu, là je comprends mieux l’analyse pointue qu’il en fait. Son truc, c’est le cinéma populaire américain des années 60-80, clairement il ne faut pas chercher dans ses références un Bergmann ou un Pasolini ! Là on peut confronter notre ressenti avec le sien, sinon c’est plus difficile, évidemment. Reste quelques chapitres quasi biographiques très intéressants, sur Steve Mc Queen par exemple (un sacré caractère lui aussi!). Ce qui est drôle, et la traduction du livre y est pour quelque chose, c’est que Tarantino écrit comme il parle : « P… de film », « Voir ça à l’écran me foutais les boules... » et caetera… Ce n’est quand même pas très habituel de lire des livres dans un style si « libre », mais ça colle bien au personnage rock’n roll qu’il est.
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