"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les chemtrails, du mot anglais chemical trails (prononcez kemtrails), sont des traînées étranges laissées par les avions.
Elles forment des nuages qui n'ont rien à voir avec les cumulus ou les cirrus.
Des résultats d'analyses nous apprennent que les retombées de chemtrails contiennent des matières biologiques telles des bactéries et des virus, des globules rouges, des produits chimiques, des sels, des minéraux et des particules de champignons microscopiques noirs, tous toxiques pour le monde animal, la faune et la flore.
Pourquoi les gouvernements affirment-ils que ce sont des sillons de condensation de vapeur d'eau provenant de la chaleur des turbines d'avions (contrails) ? Les contrails se dissipent rapidement, tandis que les chemtrails s'étirent et demeurent dans le ciel des heures durant.
Les responsables civils et militaires des affaires aériennes ont assuré les chercheurs qu'il s'agissait bien de traînées de condensation.
Ces traînées seraient le résultat d'un délestage de carburant en prévision d'un atterrissage forcé. Cependant, la multiplication de ces tracés rend ridicule et inadmissible cette théorie. La majorité des avions qui survolent nos pays seraient-ils en perdition ?
Devant l'amplitude du phénomène, les grands responsables n'eurent d'autres choix que de s'abstenir de tout nouveau commentaire... À force de haussements d'épaules, le sujet des chemtrails fut relégué au rang de légendes urbaines.
Les chemtrails seraient de pures théories conspirationistes et des rumeurs de l'Internet ! Regardez la photo de la page couverture et déduisez vous-mêmes.
Les chemtrails sont les trainées bizarres en X, en quadrillages et autres, laissées par les avions visibles quand les ciels sont clairs. Observés par tout un chacun depuis quelques années, seraient-ils composés d’autre chose que d’inoffensive vapeur d’eau ? Normalement les « contrails » (sillages de vapeur d’eau) se dissipent en environ 10 minutes. Ce n’est pas du tout le cas des chemtrails (trainées chimiques) qui restent beaucoup plus longtemps en suspension et finissent par former des nuages qui n’ont rien à voir avec les cumulus ou les cirrus. Les résultats d’analyse montrent que ces épandages peuvent contenir des produits chimiques, des minéraux, des sels, du baryum, de l’aluminium, du magnésium, de l’iodure d’argent, des polymères hydrophiles, et même des particules de champignons microscopiques, tous toxiques pour la faune et la flore. L’auteur constate même diverses conséquences sur sa propre santé et celle de sa femme après ces épandages comme des symptômes de grippe en plein été. N’y aurait-il pas un lien de cause à effet entre ces deux phénomènes ? Dans quel but les gouvernements et de grosses multinationales comme Raytheon se livreraient-ils à ce genre de couteux exercice ?
« Chemtrails, les tracés de la mort » est un essai basé sur une importante recherche réalisée principalement grâce à une compilation de documents trouvés sur de nombreux sites internets (tous mentionnés). Bien entendu leurs conclusions n’ont pas grand-chose à voir avec la doxa officielle d’ailleurs difficilement défendable, la vapeur d’eau et les dégazages de kérosène ne tenant pas la route. Les témoignages d’un mécanicien découvrant dissimulées à l’intérieur d’un avion de ligne d’étranges bonbonnes connectées aux évacuations extérieures d’eaux usées et d’un cadre de compagnie aérienne parfaitement informé d’une opération de ce genre (« Cloverleaf », « Redsky » et autres) sont tout à fait troublants. Mais pourquoi ces pulvérisations ? Volonté de modifier le climat à sa convenance (faire tomber la pluie ou non. La Chine s’en est vantée), travailler sur les ondes et les radiations, répandre des virus voire des vaccins (dixit Bill Gates), expérimenter des armes climatiques et chimiques ? (On se souvient des ravages de « l’agent orange » pendant la guerre du Vietnam). Enquête intéressante qui pose plus de questions qu’elle ne propose de réponses d’autant plus quand l’auteur relie ces arrosages aux réseaux du « projet Haarp », aux tours « Gwen », aux OVNI, (avec références bibliques et autres textes anciens), et même aux « petits gris ». On en prend et on en laisse, bien sûr…
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