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Roman singulier, Celle que j'aimais conte l'histoire d'un amour absolu et atypique qui n'aurait jamais pu exister sans le concours d'une recherche d'emploi et d'un job somme toute cocasse. Bercés par la musique de Schubert et des Beatles, les personnages se cherchent, se trouvent, se perdent, se retrouvent sur fond d'une Corée du Sud rattrapée par la consommation de masse.
Ce roman est aussi un éloge des différences dans un pays où la beauté, notamment féminine, est un moteur de l'ascension sociale. L'auteur traque le caractère absurde de certaines situations et pour ceux que le monde moderne effraie, ce roman au rythme musical est un véritable plaidoyer pour une humanité nouvelle où les liens d'amour et d'amitié protègent des rudesses de la vie.
Et comme dans toute histoire rien n'est ni noir ni blanc, l'auteur propose un épilogue en deux versions, au choix du lecteur.
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