La notoriété de la revue Bref n'est plus à faire dans le milieu du court métrage. Bref s'adresse à un lectorat de cinéphiles curieux et exigeants, désireux tout autant de découvrir les formes émergentes que de connaître tout un pan de l'art cinématographique délaissé par les approches traditionnelles.
Secteur prolifique (plus de 1 500 courts métrages réalisés en France en 2016), pas véritablement inséré dans une logique commerciale, le court métrage n'a pas beaucoup d'espace pour y inscrire sa mémoire et mettre en perspective son devenir qui est, pour une bonne part, celui du cinéma même.
Bref se veut la revue qui prend le temps de faire partager et de montrer le meilleur du court métrage d'hier et d'aujourd'hui, dans toutes ses formes et dans la pluralité de ses modes d'exposition. Et à l'heure de la mutation numérique, il nous semble important de proposer une revue étoffée (156 pages), associée à un site Internet où sont mis en ligne des courts métrages : nouveautés, classiques et films liés à l'actualité du long métrage.
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