"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Lancé dans un mystérieux jeu de piste à travers Gotham, Batman est neutralisé puis se réveille dans l'Asile d'Arkham où Alfred lui apprend qu'il en est en réalité le patient depuis des années et que sa croisade contre le crime n'est que le délire de son esprit malade ! Mais ce n'est que le début d'une épopée qui va conduire le héros à traverser un monde désolé peuplé de visages familiers à jamais traumatisés par une apocalypse dont Batman ignore les origines ! La dernière croisade du Chevalier Noir a commencé.
Snyder/Capullo, c'est un très bon duo selon moi. Le run Batman (new52) est quasi parfait, Batman métal est sympa malgré son scénario Doliprane, c'est avec joie que je les ai retrouvé ici.
Ça commence tranquille, ambiance détective. Puis ça part très vite en vrille. Ok, ce comics est donc un gros délire auquel j'ai vite adhéré. Et ne cherchons pas plus loin, ça reste une énorme blague.
J'enchaîne les pages, les chapitres, puis il ne me reste qu'un chapitre. Quelques pages. Mais vraiment genre 4 ou 5. Pour avoir, encore une fois, une conclusion qui n'en est pas une. Snyder a vraiment un gros souci pour conclure. On devrait l'appeler Jean Claude Snyder.
Capullo, lui, arrive à traduire les délires de son pote. C'est très beau, lisible. Du grand art.
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