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Le Centre Pompidou consacre une exposition à l'artiste britannique Francis Bacon (1909-1992). Une rétrospective qui se concentre tout particulièrement sur le rapport entre ses oeuvres et ses intérêts littéraires, puisque l'artiste affirmait haut et fort que « la littérature constituait un stimulus puissant de son imaginaire ». Le domaine littéraire semble inspirer chez Bacon « une « atmosphère générale », des « images » coupées de leur contexte d'origine ». Et une période charnière autour de cette inspiration : 1971-1992, deux décennies qui correspondent pour l'artiste à celle « du dépassement, d'un arrachement de sa peinture, à la matière, au chaos » d'où surgissent ses premières figures. Des oeuvres provocantes une vie débridée volontiers bohème ponctuée par l'alcool et le jeu... Très vite, le succès accompagne le scandale, Bacon peut sans vergogne torturer ses amis et ses amants sur la toile : son humour désespéré fascine ou rebute, la réussite et la reconnaissance viendront couronner l'oeuvre de l'artiste comme l'une des plus importantes du XXe siècle.
Beaux Arts Éditions dresse le portrait de cet artiste torturé, marqué par son enfance traumatique et par le drame de la guerre, qui ne laissent que peu de place à la futilité.
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