"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La Terre s'entrouvre. C'est un autre rêve prémonitoire qui est en train de se réaliser.
My Wonder Woman, tu avais raison depuis le début, je me suis voilé la face autant que j'ai pu. Il n'y a plus d'illusions à se faire : tout espoir est inutile. Il n'y aura pas de naufragés.
Leurs dieux qu'ils prient ne se montrent pas. C'est l'Apocalypse, la seule, la vraie, oh oui, l'unique. La magnifique...
Ceci n'est pas une fable, mais la réalité !
La première et la quatrième de couverture ne mentent pas : « Apocalypse » est d'un pessimisme ambiant. Ce recueil (le premier de son auteur) raconte essentiellement la lente agonie de notre civilisation (la plupart des poèmes sont ouvertement inspirés des attentats de 2015, de mouvements de protestation ou encore de l'actuelle pandémie). S'y trouvent également d'autres thèmes tout aussi lugubres (la rupture, la maladie incurable, le deuil, ces deux derniers étant assez habituels dans ses écrits), ainsi que quelques moments romantiques et olé olé.
Contrairement à la forme (les poèmes sont écrits, pour une large majorité d'entre eux, de façon tout ce qu'il y a de plus classique), le langage employé est moderne, parfois familier. On sent qu'Adrien Balboa y a mis toute sa sincérité, toute sa sensibilité et c'est ce qui rend « Apocalypse » intéressant.
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