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L'écriture chez A. Abderrechid ressemble à un voyage sans point de départ ni point d'arrivée. Les poèmes ressemblent au poète. Il est le fils du nuage. Et parce que la langue est le royaume ouvert, par excellence, de la poésie, A. Abder questionne sa langue. Entre simplicité et métaphore le poème s'enfante ! J'imagine A Abder sur les traces d'el Mutanabbi dans le désert de Sinaï ou Rimbaud dans le désert du Yémen. Dévoré par le désert de Saoura et le ciel de kenadssa. Je l'imagine sur les traces d'autres enfants de cette ville : Yasmina khadra, Malika Mokaddem, Abderrahmane Moussaoui, Rabah Sebaa... il existe des villes qui ont la baraka de l'écrit et Bechar est une de ces villes bénies. Il est chamelier du désert, le poète. En visionnaire, il écrit sur le sable son voyage qui n'est que synonyme de la liberté. Amine Zaoui
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