80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Ce n'est pas parce que tu ne répondras pas que l'histoire va devoir se passer de toi. » Ces mots écrits par Robert Bober pour l'ami d'enfance que la Shoah lui a enlevé, on est tenté de les adresser à Armand Nény, qui s'est donné la mort en classe, au lycée Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand, le 25 mai 1909. Le drame fut d'abord prétexte à polémique avant de devenir, pour quelques écrivains, une source d'inspiration. Les tourments de l'élève Nény ont été ignorés, et aussi la parole de ses camarades, dont deux ont aidé à son passage à l'acte. Une différence, parmi d'autres, entre les suicides d'adolescents comme fait social au début du siècle dernier et de nos jours.
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