Le temps d'une conversation, Véronique Ovaldé nous ouvre les portes de sa maison
"Je commence chaque roman de Véronique Ovaldé comme j'entrerais dans une fête dont je connais au moins la moitié des invités. Ceci, depuis que j'ai lu Ce que je sais de Vera Candida, à une époque où tout n'allait pas au mieux dans ma vie....
Nathalie Iris, de la librairie Mots en Marge organise chaque année en juin "La Nuit Blanche des Livres" à La Garenne Colombes. Dans ce lieu d'échange, les auteurs viennent à la rencontre de leurs lecteurs pour une grande fête du livre joyeuse et...
A l'occasion de la publication de son roman "La grâce des brigands", Véronique Ovaldé répond à une interview-portrait.Elle connaît un succès grandissant depuis les débuts de sa carrière, notamment, avec Ce que je sais de...
A l'occasion de la sortie en poche de son roman à succès "La grâce des brigands", Véronique Ovaldé revient sur l'écriture de son ouvrage lors du festival Passage de témoins à Caen qui s'est déroulé au mois de mai....
Le temps d'une conversation, Véronique Ovaldé nous ouvre les portes de sa maison
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Le revue de presse d'août vous dit tout sur la #rl2016
#RL2016 : 560 romans à paraitre, nos #Explolecteurs vont en dévorer 50, venez les découvrir ici !
Livre audio :
L’histoire tourne autour de quatre sœurs : Gilda, Violetta, Mimi, et Aïda, surnommée « la fille en colère ».
Quinze ans après son bannissement, Aïda revient sur l’île de Iazza pour assister aux funérailles de son père.
Ce retour plonge le lecteur dans le drame complexe et mystérieux d’une famille sicilienne, où secrets, non-dits et colère prédominent.
Le récit explore à la fois le passé et le présent de cette famille conservatrice.
Bien que l’intrigue offre des moments captivants et émouvants, elle est parfois freinée par des passages soporifiques et un manque de rythme.
Le roman alterne entre séquences palpitantes et passages plus ennuyeux, ce qui en fait une lecture mitigée pour moi.
Malgré l’intérêt de l’intrigue qui m’a poussée à lire jusqu’à la fin, j’ai éprouvé des réserves quant à l’ensemble du récit.
Lors d'une visite scolaire au musée de Bilbao, la jeune Atanasia - 13 ans - est ébranlée par un tableau de Roberto Diaz Uribe, sans savoir que l'artiste est lié à sa famille. Entrant dans l'âge adulte, elle part vivre à Paris et rencontre Vladimir Veledine « le plus éminent spécialiste » du peintre. Grâce à lui, elle part à la recherche de ses origines. Son parcours initiatique l'envoie, par livres et récits interposées, en Afrique et en Amérique Latine, avant de revenir en Espagne, à Uburuk.
Véronique Ovaldé nous propose ici une saga familiale prolixe, autour d'un artiste fictif, sur fond de bouleversements sociaux internationaux. L'histoire foisonne de digressions, d'enchevêtrements et de distortions, à la manière des longues épopées Ibériques. En suivant Atanasia durant quelques années, on remonte le temps et on voyage à travers les continents.
J'ai eu beaucoup de mal à m'impliquer dans cette lecture-écoute. Pourtant, Véronique Ovaldé, l'autrice, lit extrêmement bien ! Son interprétation est juste, rythmée, sa voix est très agréable, dynamique et musicale. Sa prose m'a semblé aussi chantante que sa voix. On entre dans un univers foisonnant, teinté de faits Historiques, parcourant le monde de la seconde moitié du XXe siècle à travers le globe (Espagne, France, mais aussi Afrique, Amérique du Sud...). Et, cerise sur le gâteau, le style de Véronique Ovaldé est riche, travaillé et musical. Ce roman en version audio avait donc tout pour me plaire : qualité du style et de la lecture étaient au rendez-vous. Incapable de comprendre pourquoi je n'ai pas accroché. Je n'ai pas toujours réussi à faire la différence entre fiction et réalité... Trop décousu, trop de digressions ? J'aime pourtant les tours et détours des sagas (surtout hispaniques !). Trop de thèmes abordés ? J'aime pourtant l'Histoire récente, l'Art, le récit des révoltes civiles autant que les confessions plus intimes... Trop long ? Non plus : même si j'ai souvent décroché, j'aurai du mal à arguer que le roman comporte des longueurs : la construction tient la route et les fluctuations entre les "elle" et les "je" perturbent autant qu'elles dynamisent la narration. Même si j'ai été un peu déçue par le tout dernier dénouement, cela n'explique certainement pas mon décrochage de départ...
Bref bref bref... On dit parfois qu'il y a des "moments" propices à certaines lectures, sans doute est-ce une question de "moments" si je me suis forcée à aller au bout de cette lecture-écoute... Je tenterai l'expérience avec un autre roman de Véronique Ovaldé car son style m'a vraiment semblé très intéressant.
En relisant mes notes, je constate que ce commentaire correspond parfaitement à l'image que j'ai d'un "avis mitigé", ce qui explique ma note à la moyenne... Malgré toutes les qualités objectives décelées, je me suis surtout ennuyée... triste...
Des vies imparfaites mais tellement réelles, chacune avec sa pointe d'humour et sa sensibilité. Bien écrit, lu avec plaisir mais sans réel enthousiasme.
Comme un maillage de l’humain avec les doutes, les ressemblances et surtout les imperfections ces 8 nouvelles qui sont 8 portraits de personnes liées par le hasard de la vie.
C’est écrit avec humour et élégance avec toujours quelques mots inventés comme une signature cachée de l’autrice.
J ai picoré chaque portrait, avec une préférence pour celui d’Herman !
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