Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Simon Pitaqaj

Simon Pitaqaj
Né à Gjakovë, au Kosovo, Simon pitaqaj est arrivé en France à l'âge de 15 ans. Il met en scène en deux versions Un pour la route de Harold Pinter, auteur anglais et Prix Nobel de Littérature. Puis Les Emigrés, Jour d'été de Slawomir Mrozek, Don Juan de Michel de Ghelderode. Il conçoit et met en s... Voir plus
Né à Gjakovë, au Kosovo, Simon pitaqaj est arrivé en France à l'âge de 15 ans. Il met en scène en deux versions Un pour la route de Harold Pinter, auteur anglais et Prix Nobel de Littérature. Puis Les Emigrés, Jour d'été de Slawomir Mrozek, Don Juan de Michel de Ghelderode. Il conçoit et met en scène un projet autour du roman Jack en lien avec d'autres textes d'Alphonse Daudet. En création collective il monte Les Soeurs Siamuses avec Cécile Favale, Sévanne Sybesma. Dernièrement il adapte et met en scène L'Homme du sous-sol de F. Dostoïevski, La Vieille guerre Bataille du Kosovo 1389 d'après des légendes Balkaniques, Trois chants funèbres pour le Kosovo d'Ismail Kadaré ainsi queVaki Kosovar en résidence d'accompagnement au théâtre national de l'agora, Evry (novembre 2016).

Avis sur cet auteur (1)

  • add_box
    Couverture du livre « Nous, les petits enfants de Tito » de Simon Pitaqaj aux éditions Le Square Editeur

    Mireille B sur Nous, les petits enfants de Tito de Simon Pitaqaj

    « Je suis un mafieux, je suis un mafieux comme tous les Albanais ». Dès la première phrase, le ton est donné et la mise en scène opère. Face aux pages que je tourne en dévorant les mots et le phrasé tombant telle une sentence, je vois Simon évoluer sur la scène du théâtre.

    Simon incarne...
    Voir plus

    « Je suis un mafieux, je suis un mafieux comme tous les Albanais ». Dès la première phrase, le ton est donné et la mise en scène opère. Face aux pages que je tourne en dévorant les mots et le phrasé tombant telle une sentence, je vois Simon évoluer sur la scène du théâtre.

    Simon incarne l’enfant qu’il a été dans son Kosovo natal, de là où la guerre l’a délogé, de là où il est parti adolescent avec ses racines, entre mélancolie et vif espoir de découvrir une sorte d’eldorado. C’est l’image qui est née en lui de la promesse de son père : vivre à Paris, voir la Tour Eiffel, vivre dans une maison, dormir dans un lit …

    Près de Paris certes, c’est le 9.3 qui accueille « l’Albanais ». Dans une vaste diversité culturelle, il apprend que pour « vivre ensemble » il lui faut abandonner ses croyances et se muer face aux légendes des Balkans au risque de se perdre pour se construire un autre soi.

    Dans un style sans complaisance, Simon Pitaqaj m’a littéralement transportée dans le plongeon vers son autre sorte de prison. Le vocabulaire est juste, violent comme la vie, dérangeant, Simon emploie les mots qui heurtent notre sensibilité. Un récit bouleversant.

Ils ont lu cet auteur

Thèmes en lien avec Simon Pitaqaj

Discussions autour de cet auteur

Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur

Soyez le premier à en lancer une !