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Robert Venditti

Robert Venditti

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Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Tankers : Des brutes pour du brut » de Juan Jose Ryp et Robert Venditti aux éditions Bliss Comics

    Pierre34 sur Tankers : Des brutes pour du brut de Juan Jose Ryp - Robert Venditti

    "On voulait juste plus de pétrole". Cette phrase, prononcée par un scientifique dépassé par les événements résume comme toujours les errements du progrès lorsqu'ils servent de mauvais desseins.
    Un milliardaire à la tête d'une multinationale qui tire ses profits de l'exploitation pétrolière doit...
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    "On voulait juste plus de pétrole". Cette phrase, prononcée par un scientifique dépassé par les événements résume comme toujours les errements du progrès lorsqu'ils servent de mauvais desseins.
    Un milliardaire à la tête d'une multinationale qui tire ses profits de l'exploitation pétrolière doit faire face à la raréfaction et la disparition de cette ressource à court terme. Au lieu d'anticiper et pourquoi pas de se tourner vers sources d'énergie soucieuses du bien commun, il emploie des scientifique à des recherches sur le voyage dans le temps. L'objectif est d'envoyer une équipe de militaires au crétacé, le jour de la collision de la météorite mettant fin au règne des dinosaures, afin d'infléchir l'inéluctable et ainsi démultiplier les réserves de pétrole dans le pétrole. La mission réussie mais les conséquences sont inattendues et désastreuses ...
    Cet album mêle des thèmes assez classiques du post apocalyptique ou la SF : voyage dans le temps, boucle temporelle, multinationale avide de profits, etc...
    Le clin d'oeil à Jurassic Park est assez évident; Pour le reste, même si c'est une lecture récréative, je suis assez déçu par le scénario. Manque d'originalité; trop d'action, développement moyen des personnages, dessin pas hyper emballant. C'est dommage car il y avait du potentiel.

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    Couverture du livre « Percy Jackson Tome 2 ; la mer des monstres » de Rick Riordan et Attila Futaki et Robert Venditti aux éditions Glenat

    April the seven sur Percy Jackson Tome 2 ; la mer des monstres de Rick Riordan - Attila Futaki - Robert Venditti

    Percy Jackson est LA saga que je regrette de ne pas avoir commencée plus tôt. Classée jeunesse, je me suis toujours dit qu’elle ne réunissait pas assez d’éléments pour me transporter autant que d’autres séries de mon enfance. Les films sont sortis et n’ont fait que confirmer ce que je savais...
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    Percy Jackson est LA saga que je regrette de ne pas avoir commencée plus tôt. Classée jeunesse, je me suis toujours dit qu’elle ne réunissait pas assez d’éléments pour me transporter autant que d’autres séries de mon enfance. Les films sont sortis et n’ont fait que confirmer ce que je savais déjà. Percy Jackson, m’ouais, mais pas de quoi se rouler par terre. Et puis j’ai découvert le premier opus de la saga. Je m’attendais à passer un bon moment, mais sans plus. Rick Riordan a su me clouer le bec et me redonner mon âme d’enfant. Chaque détail m’a impressionnée, chaque aventure a été une surprise et j’ai surtout beaucoup ri. C’est pourquoi j’ai commencé le tome 2 très confiante et pressée de retrouver Percy, Annabeth et Grover…

    Dans le premier tome, Percy avait passé un été particulièrement rock and roll, puisqu’il avait découvert qu’il était le fruit d’une union entre sa mère et Poséidon, et qu’il était le sujet principal d’une étrange malédiction. Après moult aventures, notre héros a repris une vie normale dans un nouveau lycée. Tout va bien jusqu’au jour où en plein cours de sport, lui et son ami Tyson se font attaquer par des monstres. Et Percy n’est pas au bout de ses surprises, car il fait d’étranges rêves où il voit Grover attifé comme une mariée, qui semble avoir besoin d’aide. Sans compter qu’à son retour à la colonie des sangs mêlés, l’arbre censé les protéger a été empoisonné, rendant ainsi la colonie perméable aux attaques de monstres. Il n’y a qu’un seul moyen pour sauver la colonie, mais pour cela, Percy devra traverser bon nombre de dangers, et tout particulièrement la Mer des Monstres.

    Je n’ai eu aucun mal à reprendre mes aises dans cette histoire. Rick Riordan a laissé son héros souffler quelques mois avant de le mettre face à de nouvelles péripéties. Et quelles péripéties ! Impossible de s’ennuyer, l’action est au rendez-vous, le rythme est toujours aussi soutenu et l’imagination de l’auteur ne tarit pas un instant. La mythologie grecque imprègne chaque scène ; ce mélange d’ancien et moderne forme un cocktail détonnant, saupoudré d’un humour bien particulier.

    Les personnages nous régalent avec leur dynamisme et leurs tempéraments différents. Percy, le héros dans toute sa splendeur, un peu gaffeur et maladroit, mais toujours pétri de bonnes intentions. Annabeth, parfois dure et trop sérieuse, mais un véritable point d’ancrage pour Percy. J’admets avoir moins d’atomes crochus avec elle, je ne me l’explique pas. Grover, lui, est bien moins présent dans ce tome, mais chacune de ses apparitions regorge de touches humoristiques qui réchauffent le cœur. Grover est égal à lui-même et épate la galerie en parvenant à se fourrer dans des situations… rocambolesques ! Il y a également Tyson qui fait son apparition. Acolyte de Percy par la force des choses, il a quelques secrets qui viennent alimenter la trame déjà bien fournie.

    Même si les personnages n’évoluent pas de manière drastique entre les deux tomes, on perçoit néanmoins que Rick Riordan leur fait passer certains caps. Leurs aventures sont de plus en plus périlleuses, et on tend à arriver vers quelque chose qui nous dépasse complètement. Un gros point fort pour la fin qui relance l’intrigue et ouvre le champ des possibles. Je me demande très sincèrement ce que l’auteur nous concocte, et je pense que ça va envoyer du lourd !

    Je ne vous ferai pas l’affront de comparer le livre avec la version cinématographique. Encore une belle histoire piétinée sans raison pour faire de l’argent. Heureusement, je pourrai maintenant poursuivre cette saga sans jamais plus être influencée par son adaptation.

    En résumé, ce deuxième opus est une excellente lecture, addictive et difficile à lâcher une fois commencée. Rick Riordan parvient à embarquer son lecteur dans une histoire sans cesse renouvelée et d’une qualité constante. La mythologie est toujours prédominante, mêlée à une généreuse poignée d’humour et un soupçon de mystère sur la fin.

    Ma chronique : http://april-the-seven.weebly.com/fantasy---merveilleux/percy-jackson-tome-1-le-voleur-de-foudre-rick-riordan#comments

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    Couverture du livre « Percy Jackson Tome 1 ; le voleur de foudre » de Rick Riordan et Attila Futaki et Robert Venditti aux éditions Glenat

    Gwenaelle Heimerdinger sur Percy Jackson Tome 1 ; le voleur de foudre de Rick Riordan - Attila Futaki - Robert Venditti

    Ce premier bouquin est pas mal du tout. Je dirais même que j'adore.

    Ce premier bouquin est pas mal du tout. Je dirais même que j'adore.