80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les sirènes du Kampuchéa est une lecture que j'ai trouvé très intéressante, en ce qu'elle permet de prendre conscience de toute l'ambiguïté du travail humanitaire, entre expérience humainement enrichissante et situation politiquement complexe à gérer.
Un ouvrage fascinant, dépaysant et très original pour moi qui ne connaît pas bien le Cambodge et son histoire. Des thématiques fortes, un style fluide et beaucoup d’humanité dans ce récit parfois ironique. Les difficultés des organisations humanitaires dans ce contexte communiste sont retracées dans des chapitres consacrés à divers aspects de la vie quotidienne. Une découverte d’un passé mouvementé mais aussi d’un pays qui ne peut laisser de marbre.
Un récit captivant lu d’une traite que je vous recommande vivement !
Les Sirènes du Kampuchéa nous plonge dans la reconstruction du Cambodge après le régime douloureux des Kmers rouge. A travers des tranches de vies, le récit questionne : Quelle place prend l’humanitaire dans les pays éprouvés? Quelles réelles possibilités humanistes a-t-elle ? Les missions humanitaires sont-elles toujours appropriées et/ou bénéfiques ?
Avec esprit et recul l’auteur nous compte les deux années (1985/1987) de sa présence au Cambodge et les tentatives de restauration d’un pays déchiré.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année