"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'histoire se déroule une semaine de l'été 1977.
Ferroni (on soupçonne immédiatement que c'est un tortionnaire), arrive dans un village Villa Del Carmen. Il vient de Buenos Aires, se perdre, se retrouver.
C'est une histoire de résistance, de compromis, d'attente, d'amour, de rêves, de séparation, de tortures, de mort, de mémoire, de solitude, de jalousie, de fierté.
On suit Marita, une "fille de pierre", sa grand-mère sans coeur, dona Nativita illettrée et bonne, la Matilde partie à la ville, qui est obligée de fuir la dictature et se cache, et Ferroni qui ouvre la porte de son enfance.
Les mots se mettent en place, tel un édifice qui se construit, qui s'élève.
Des mots qui coulent comme une rivière, qui enflent comme une cascade, s'entortillent ; une langue poétique qui transmet cette lenteur, cette chaleur, ce drame qui se noue lentement.
Et qui se termine...
Il suffit de lire ce livre et de se laisser emporter jusqu'à la fin.
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