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Michèle Pedinielli

Michèle Pedinielli

Michèle Pedinielli est née à Nice d’un mélange corse et italien. Elle est « montée à la capitale » pour devenir journaliste pendant une quinzaine d’années.  De retour dans sa ville natale, elle décide de se consacrer à l’écriture. Son premier roman, le polar Boccanera, est publié en 2018.

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Michèle Pedinielli est née à Nice d’un mélange corse et italien. Elle est « montée à la capitale » pour devenir journaliste pendant une quinzaine d’années.  De retour dans sa ville natale, elle décide de se consacrer à l’écriture. Son premier roman, le polar Boccanera, est publié en 2018.

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Avis sur cet auteur (24)

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    Couverture du livre « Un seul oeil » de Michèle Pedinielli aux éditions Editions De L'aube

    silencieuse sur Un seul oeil de Michèle Pedinielli

    Un polar avec des enquêteurs humains, pas des super héros mais des personnages qui pleurent, souffrent de ménopause, piquent des clopes aux copains, font des bisous aux chiens et râlent contre les politiques pourris. Cela semble anodin, mais c'est important quand on veut rentrer dans une...
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    Un polar avec des enquêteurs humains, pas des super héros mais des personnages qui pleurent, souffrent de ménopause, piquent des clopes aux copains, font des bisous aux chiens et râlent contre les politiques pourris. Cela semble anodin, mais c'est important quand on veut rentrer dans une histoire et ne pas se sentir laissé-pour-compte, n'ayant pas la testostérone ou les biceps indispensables à une course poursuite. On retrouve ici avec bonheur Diou et Jo, bien connus des lecteurs de Michèle Pedinielli et c'est bien agréable, parce qu'au fond, il faut l'avouer, on les aime beaucoup tous les deux ! Un polar efficace que je vous recommande sans hésiter.

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    Couverture du livre « Un seul oeil » de Michèle Pedinielli aux éditions Editions De L'aube

    Matatoune sur Un seul oeil de Michèle Pedinielli

    Dans cette cinquième aventure de Diou Boccanera, Un seul œil de Michèle Pedinielli, place sa détective au centre d’une enquête complexe qui fera ressurgir son passé et celle de son entourage et leurs démons.

    Daniel Lehman dit Dan, photographe, est le colocataire de Diou, de son vrai...
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    Dans cette cinquième aventure de Diou Boccanera, Un seul œil de Michèle Pedinielli, place sa détective au centre d’une enquête complexe qui fera ressurgir son passé et celle de son entourage et leurs démons.

    Daniel Lehman dit Dan, photographe, est le colocataire de Diou, de son vrai nom,Ghjulia Boccanera, depuis plus de vingt ans. Après une agression dans sa galerie, il est dans le coma suite à un traumatisme crânien. Tout au long de ce roman, Dan alterne avec Diou les chapitres pour se rappeler une histoire d’amour de sa jeunesse.

    Diou frise la cinquantaine, la ménopause active. L’agression de Dan ne sera pas la seule. L’assassinat de la compagne de son ex-mari, passé commandant de police à Nice, vient corroborer le fait qu’un malade rôde autour d’elle et son entourage.

    Gabriel Colonba, le nouveau petit ami de Dan, travaille aussi à l’agence du renseignement territorial, ex RG. Il lui avait demandé de surveiller deux autres galeries.

    Le détective de Michèle Pedinielli est toujours complètement atypique, au parler redoutable. Cependant dans ce tome, la nostalgie du temps qui passe est une composante importante. Néanmoins, l’amitié est une qualité de la fidélité de Diou à ses valeurs.

    Comme toujours, l’écrivaine égratigne la politique, en fustigeant le maire actuel et ses rêves de grandeur architecturale mais aussi sa folie sécuritaire avec son premier réseau de télésurveillance de France. Seulement cela ne s’arrête pas là. Ainsi, Diou dénonce la construction d’innombrables hôtels de luxe plutôt que des logements sociaux. Et, tant d’autres choses aussi savoureuses rappelant le passé de cette ville.

    Le côté Punk, à gauche de la gauche, malgré ses cinquante ans, est toujours présent. Et c’est quand même ce qu’on aime retrouver dans ses romans.

    Un seul œil est un vrai roman policier de Michèle Pedinielli qui raconte une enquête à l’intrigue complexe, sans temps mort, en plein cœur du vieux Nice en pleine mutation.
    Chronique illustrée ici
    https://vagabondageautourdesoi.com/2025/02/17/65754/

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    Couverture du livre « Noires saisons » de Maureen Martineau et Gelinas Ariane et Michèle Pedinielli et Corinne Jacquet aux éditions Editions De L'aube

    Cellekili sur Noires saisons de Maureen Martineau - Gelinas Ariane - Michèle Pedinielli - Corinne Jacquet

    Quatre romancières pour douze histoires réparties sur les quatre saisons, voilà ce que nous offre ce recueil de nouvelles noires. Les quatre auteures aux univers différents, nous font voyager de la France au Québec en passant par la Suisse. Partout, le réchauffement climatique change la donne et...
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    Quatre romancières pour douze histoires réparties sur les quatre saisons, voilà ce que nous offre ce recueil de nouvelles noires. Les quatre auteures aux univers différents, nous font voyager de la France au Québec en passant par la Suisse. Partout, le réchauffement climatique change la donne et se mêle à la noirceur de l’âme des personnages qui sont des femmes. Toutes ont leur propre histoire, leurs fêlures, qui les mènent sur la voie du crime et c’est à la fois effrayant et fascinant.
    On croise une femme et ses filles dans une secte au bord d’un lac qui s’assèche, puis ce sont les incendies de forêt qui inquiètent des randonneurs dans le Saguenay pour terminer par un été caniculaire dans le sud de la France où un homme d’affaire veut construire un golf. Voilà pour la saison d’été. Chaque saison a droit aux récits croisés des quatre écrivaines qui rivalisent d’imagination pour nous alerter sur les conséquences du réchauffement climatique : orages, tempêtes, incendies, sècheresse, pollution des lacs, épizootie, autant de drames qui s’ajoutent aux tragédies humaines.
    Les personnages féminins sont multiples, leurs réactions parfois surprenantes et la chute de chaque histoire vient à chaque fois surprendre le lecteur.

    Je remercie les éditions de l’Aube et Masse critique de Babelio pour cette sombre et palpitante lecture.

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    Couverture du livre « Noires saisons » de Maureen Martineau et Gelinas Ariane et Michèle Pedinielli et Corinne Jacquet aux éditions Editions De L'aube

    Regine Zephirine sur Noires saisons de Maureen Martineau - Gelinas Ariane - Michèle Pedinielli - Corinne Jacquet

    Deux québécoises, une suisse et une française, voilà pour les quatre romancières qui composent ce recueil de nouvelles. A travers douze histoires, elles nous font traverser les quatre saisons, bien loin de celles de Vivaldi car le réchauffement climatique a changé la donne.
    En été, il est...
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    Deux québécoises, une suisse et une française, voilà pour les quatre romancières qui composent ce recueil de nouvelles. A travers douze histoires, elles nous font traverser les quatre saisons, bien loin de celles de Vivaldi car le réchauffement climatique a changé la donne.
    En été, il est question d’incendies de forêt et de sècheresse tandis que le printemps annonce la fonte des glaciers et des pluies diluviennes. Au milieu de ce déchainement des éléments et des catastrophes écologiques qu’il entraine, des femmes tentent de vivre et de surmonter leurs drames intimes. Il y a l’abandon, la jalousie, l’amour déçu et le désir de vengeance comme autant de mobiles de crimes.
    Chaque univers des ces romancières est différent, mais la constante reste ces femmes, toutes criminelles, mais pour des raisons différentes. Une seule histoire raconte un homme meurtrier d’une femme, mais je ne dévoilerai pas laquelle…je vous laisse découvrir.
    Certaines histoires sont très bien ficelées, et l’aspect réchauffement climatique prend toute son ampleur, comme dans « A l’épreuve du feu » qui parle des feux de forêt au Québec. D’autres m’ont moins convaincue comme dans « Rien n’est jamais fini » une mise en abyme de l’héroïne qui fait référence aux précédents romans de l’auteure.
    Au final, c’est une lecture mitigée que celle de ces nouvelles noires dont la qualité littéraire et l’intérêt sont assez disparates.

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