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John Verdon

John Verdon

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Avis sur cet auteur (16)

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    Couverture du livre « N'ouvre pas les yeux » de John Verdon aux éditions Grasset

    Manue14 sur N'ouvre pas les yeux de John Verdon

    Le roman est prenant du début à la fin.
    L’auteur tire les ficelles de ses personnages mais leur laisse tout de même parfois le choix dans leurs actions de telle façon qu’à certains moments des retournements de situations apparaissent alors que l’on ne s’y attend pas.
    Les idées sont assez...
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    Le roman est prenant du début à la fin.
    L’auteur tire les ficelles de ses personnages mais leur laisse tout de même parfois le choix dans leurs actions de telle façon qu’à certains moments des retournements de situations apparaissent alors que l’on ne s’y attend pas.
    Les idées sont assez originales mais en restant réalistes. C’est une bonne chose !

    Les personnages sont attachants et malgré la longueur du roman j’ai été triste et déçue de devoir déjà les quitter.
    Personnellement je me suis rapidement attachée à Madeleine, cette jeune femme au grand cœur, compréhensive mais avec un caractère bien affirmé.

    Les chapitres sont d’une bonne longueur, ni trop longs, ni trop courts.
    Si le point de vue reste le même durant tout le roman j’ai apprécié découvrir les quelques-uns centrés sur le tueur. Il n’y en a malheureusement pas beaucoup…
    De plus le fait que le point de vue principal soit externe crée une petite barrière entre le lecteur et le protagoniste. C’est un peu le petit bémol du roman mais cela n’a pas gâché ma lecture !
    Le style de l’auteur est fluide et prenant. A chaque fin de chapitre on a envie d’en savoir plus !

    Le personnage principal est aussi attachant. Dans ce roman on apprend à le connaître. Mais je pense que le premier livre de l’auteur doit nous en apprendre davantage sur ce personnage. Je pense que si j’en ai l’occasion je le lirai avec plaisir pour découvrir la précédente enquête.
    La fin est dans la lignée du roman. Rien n’est oublié, tout nous est dévoilé et expliqué. Personnellement c’est le genre de fin que j’apprécie.

    En résumé, un livre que je vous conseille de découvrir sans hésitation. Et n’ayez pas peur du nombre de pages, le roman se lit très facilement, peut-être même trop puisque même fini on en redemande !

    https://fais-moi-peur.blogspot.com/search/label/affaire%20n%C2%B0406

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    Couverture du livre « 658 » de John Verdon aux éditions Le Livre De Poche

    leslivresdemargot sur 658 de John Verdon

    Belle histoire, mais vraiment longue à démarrer !!! Faut s'accrocher.

    J'ai donc mis un peu de temps à le lire. Au bout de longues pages, on commence à rentrer dans l'histoire et dans l'enquête mais bon ça tourne un peu en rond, car il répète je ne sais pas combien de fois les indices trouvés,...
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    Belle histoire, mais vraiment longue à démarrer !!! Faut s'accrocher.

    J'ai donc mis un peu de temps à le lire. Au bout de longues pages, on commence à rentrer dans l'histoire et dans l'enquête mais bon ça tourne un peu en rond, car il répète je ne sais pas combien de fois les indices trouvés, les preuves, les meurtres.

    Par contre j'ai dévoré les cent dernières pages du coup.

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    Couverture du livre « 658 » de John Verdon aux éditions Le Livre De Poche

    muriel bouche sur 658 de John Verdon

    658. C’est la première énigme à résoudre par David Gurney, ancien flic new yorkais à la retraite appelé à l’aide par une vieille relation de fac : comment l’homme qui le harcèle depuis plusieurs semaines a-t-il pu deviner ce nombre, choisi totalement au hasard ? Aurait-il affaire à un médium ?...
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    658. C’est la première énigme à résoudre par David Gurney, ancien flic new yorkais à la retraite appelé à l’aide par une vieille relation de fac : comment l’homme qui le harcèle depuis plusieurs semaines a-t-il pu deviner ce nombre, choisi totalement au hasard ? Aurait-il affaire à un médium ?
    Puis viennent les meurtres, l’enquête, la volonté de comprendre, pour identifier le tueur et l’arrêter. Un tueur particulièrement tordu et manipulateur, au rituel alambiqué et retors, et qui se moque ouvertement, et à plusieurs reprises, de ceux qui le recherchent.
    Un classique donc. Oui un classique mais un excellent classique, enlevé, intelligent, qui pose question et vous empêcherait presque de dormir. Le récit qui imbrique vie de couple et enquête est maitrisé, les personnages intéressants, l’intrigue bien menée, et le méchant pas identifiable en quelques pages.
    J’ai particulièrement aimé les chapitres qui réunissent dans une même salle une majorité de personnages : procureur, flics, profileur, Gurney . C’est là que l’auteur donne le meilleur du roman, dans les échanges qui se bousculent, les dits et non dits, les interrogations mutuelles, les provocations, les incompréhensions, les oppositions. Des moments si bien écrits qu’on pourrait se croire présent dans la pièce, et qui m’ont fait penser à certaines des meilleures scènes de New York District (pour moi peut-être ce qui se faisait de mieux en terme de série policière américaine). C’est là aussi qu’on se rend compte que John Verdon maîtrise parfaitement le rythme de son histoire, alternant les moments lents et les accélérations soudaines, les reculs, les avancées, les progressions et fausses pistes, et ce jusqu’au dénouement final.
    Bref, un très bon polar, dévoré en quelques jours, et qui me donne envie d’aller jeter un œil sur les autres romans de Verdon (je sens que ma liste de « à lire » va encore s’allonger … mais ceci est une autre histoire !).
    http://desmotssurunepage.eklablog.com/c-est-avec-les-vieux-flics-qu-on-fait-les-meilleurs-polars-a125589012

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    Couverture du livre « N'ouvre pas les yeux » de John Verdon aux éditions Grasset

    Coralie Freetime sur N'ouvre pas les yeux de John Verdon

    Un très bon auteur à découvrir qui écrit avec un style direct, des phrases très courtes sans fioriture, un suspens qui est maintenu jusqu'aux derniers chapitres.

    Un très bon auteur à découvrir qui écrit avec un style direct, des phrases très courtes sans fioriture, un suspens qui est maintenu jusqu'aux derniers chapitres.