Né en 1949 à Pessac (33), Jean-Claude Thiriet-Martel a fait ses études secondaires au lycée Fustel de Coulanges, à Strasbourg,
jusqu'en classe de Première supérieure (année 67/68), puis à la faculté des lettres de Strasbourg (certifié de lettres classiques en 1970). Il
a enseigné en collège (...
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Né en 1949 à Pessac (33), Jean-Claude Thiriet-Martel a fait ses études secondaires au lycée Fustel de Coulanges, à Strasbourg,
jusqu'en classe de Première supérieure (année 67/68), puis à la faculté des lettres de Strasbourg (certifié de lettres classiques en 1970). Il
a enseigné en collège (Marvejols en Lozère, de 71 à 73, puis Tarascon sur Ariège (de 73 à 2001) et en lycée, à Toulouse (2001/2009).
Une reprise d'études en 1986 le conduit à l'obtention d'un doctorat (thèse: Curzio Malaparte et la France soutenue en 1992), puis
de l'agrégation de lettres modernes (1997). Il continue de travailler sur l'écrivain italien Malaparte ainsi que sur le Pinocchio de Carlo
Collodi et sur la littérature de jeunesse. Il collabore à diverses revues universitaires (Caen, Grenoble, Aix) et participe aux colloques sur
Malaparte organisés dans la ville natale de l'écrivain, Prato in Toscana. Il seconde Maria Pia de Paulis dans la préparation du cahier de
L'Herne Curzio Malaparte (n° 203), sorti en 2018. Par ailleurs il manifeste un grand intérêt pour la poésie et pour l'histoire, notamment celle de la Grande Guerre et participe au travail de mémoire autour des soldats italiens morts en France. Une autre passion en fait un
« homme de gymnase», en Ariège au sein du Tarascon-Foix Volley-Ball, qu'il crée et qu'il coanime, et du Comité Départemental dont il reste
de longues années président, puis à Toulouse dans le club professionnel de la ville (Spacers TOAC-TUC) jusqu'en 2018. Collaborateur
régulier de La Voce degli Italiani in Francia (rubrique sportive, dossiers Grande Guerre, dossiers «régions»).
