80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Combien de temps faut-il pour se pardonner de l'impardonnable ? Combien de temps pour parvenir à vivre avec l'idée que l'on est responsable de la mort de l'enfant de sa meilleure amie ? Combien pour lutter contre le sentiment de culpabilité et parvenir enfin à la rédemption ?
Ces questions passionnantes en théorie deviennent un vrai chemin de croix dans ce roman qui traîne en longueur. Un tiers du récit interpelle, émeut, révolte ou questionne, le reste n'est que remplissage. J'ai eu l'impression de gravir avec toutes les peines du monde certains passages avant de continuer en roue libre à l'assaut de moments forts de l'intrigue. Du coup, je retiens de ce roman un magnifique sujet de fond, une très belle écriture mais un manque de rythme et un récit trop dilué pour mener au coup de coeur.
Le sujet est intéressant, les personnages atypiques, mais je me suis vite ennuyée dans les méandres des considérations psychologiques.
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