Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Lorsque j'ai lu le titre et le résumé du dernier roman de Céline Pennequin, je n'ai pu m'empêcher de sourire. Quels personnages allais-je donc découvrir en poussant les portes du Manoir des "Vieilles Chouettes"? Je peux vous dire qu'en refermant cet ouvrage, j'ai été heureuse et touchée d'avoir pu les rencontrer et d'avoir partagé des moments en leur compagnie.
Si vous cherchez un roman très agréable à lire et qui fait du bien, je vous conseille vivement cette lecture. Terminée le soir de Noël, j'ai trouvé qu'elle était parfaite pour cette période de fêtes de fin d'année synonyme pour beaucoup de monde de "partage". Et pour cause, cette lecture nous rappelle l'importance de l'amitié et de l'importance de pouvoir et de savoir pardonner.
Au travers de l'histoire personnelle des résidents auxquels vous ne pourrez que vous attacher, Céline Pennequin aborde des thèmes forts comme les violences conjugales, le deuil et l'handicap mais avec une certaine simplicité ce qui donne une dimension très agréable au récit.
Même si cet ouvrage parle de nos aînés, j'ai trouvé cette lecture très rafraîchissante et rajeunissante avec la sensation même que l'auteure a su insuffler dans son récit un souffle de jeunesse...
Merci Céline pour m'avoir permis de faire cette découverte qui s'est révélée être un véritable coup de coeur et m'a permis de prendre des nouvelles de mes proches d'un certain âge.
Une belle histoire de rencontre.
Et de retrouvailles.
C’est un endroit très chouette où vieillir.
Durant la lecture, je me suis sentie au cœur d’une jolie bande de copains.
Ils m’ont d’ailleurs tous fait oublier leurs âges respectifs.
Certains se rencontrent pour la première fois.
D’autres se retrouvent après plus de 40 ans d’absence.
Chacun a son vécu, son histoire et son caractère.
On ressent beaucoup d’émotions dans ce roman.
Certains passages sont très émouvants et dans d’autres, on retrouve bien l’humour de Céline.
Un roman très addictif.
J’ai pas vu passer les pages du tout.
Et pour cause, c’est écrit un peu à la façon d’un journal.
Les chapitres ne font que quelques pages, donc toujours la tentation de “aller, encore un chapitre” et puis on arrive très vite à la fin.
Même si le manoir est très chouette, on y aborde aussi certains sujets beaucoup plus durs.
La maladie, la violence, la drogue entre autres.
Un joli roman sorti le 14 octobre dernier.
Merci Céline pour ta confiance renouvelée.
J’ai découvert Céline l’année dernière avec son roman La patience du bourgeon.
Qui avait été un gros coup de coeur !
Un livre pour expliquer qu’il faut accepter de regarder…
C’est pour répondre à la demande d’une amie que j’ai accepté ce SP, et je l’en remercie car j’ai découvert une ouverture sur un monde sportif que je ne connais pas, et je l’ai fait avec la plume d’une auteure qui parle vrai avec humilité et bienveillance.
En 2001, en fin d’après-midi, Céline, dans l’indifférence générale est agressée par une bande de jeunes parce qu’elle ne veut pas lâcher son sac à main. Elle est blessée et traumatisée mais ne veut pas reconnaître le mal qu’on lui a fait. Plus de dix ans plus tard, elle peut accepter d’avoir été attaquée autrefois et de vivre sans peurs aujourd’hui.
Ce petit livre (90 pages) est fort par l’engagement de son auteure : ne pas tricher, ne pas se plaindre. Plutôt regrouper ses forces pour ne pas se laisser anéantir par l’agression mais aussi et peut-être surtout par l’indifférence et la lâcheté des témoins. Les chapitres sont courts et s’organisent autour de l’histoire elle-même, des questions qui tournent ensuite en boucle et aussi, à la fin, des réponses apportées par des thérapeutes.
La force de la reconstruction par le don aux autres et surtout par un sport dit de combat, la boxe, exprime plus que tout l’envie et le courage d’une femme qui a sombré quand elle était jeune adulte mais qui a trouvé en elle la résilience pour ne pas rester au sol.
C’est un livre poignant et salvateur, un de ceux que l’on aime offrir quand les mots que l’on peut dire ne suffisent pas à soutenir. Il est à la fois pudique et démonstratif, bienveillant et féroce. Il montre que certaines rencontres peuvent couper les ailes et que d’autres en font pousser, pour cela il faut cultiver la confiance et accepter de regarder.
Le visuel de couverture est à l’image du papillon, symbole retenu en filigrane, léger et fortement ancré.
Je remercie Céline pour sa confiance et Natalice pour m’avoir fait connaître une auteure qui a voulu parler pour aider.
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