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Encore un voyage merveilleux dans lequel nous embarque Carlo Rovelli, celui des quantas sur l’île d’Helgoland où Werner Heisenberg soignant une allergie aux pollens établit une formulation mathématique matricielle du mouvement des électrons dans un atome. L’essentiel du contenu de la première partie du livre est parfaitement résumée par l’auteur dans cette phrase : « Au lieu de considérer le monde physique comme un ensemble d’objets aux propriétés définies, la théorie quantique nous invite à voir le monde comme un réseau de relation dont les objets sont des noeuds ». La seconde partie de l’ouvrage, plus philosophique, plus difficile à suivre est pourtant très intéressante, parce qu’elle tente la liaison entre matière et esprit.
Et dire que la physique a toujours été pour moi un calvaire !
En lisant ce merveilleux petit ouvrage, j'ai tout (ou presque) compris et je me sens désormais toute légère face à l'énigme du Big Bang.
Carlo Rovelli est sans aucun doute un bon pédagogue et un ... grand poète. Nous sommes poussières d'étoiles dans ce grand univers et c'est vraiment tout l'art de cet auteur italien d'avoir ainsi mis à la portée des mortels un sujet aussi complexe que la relativité d'Einstein.
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