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Bernard Minier

Bernard Minier

Bernard Minier est né à Béziers et a grandi dans le Sud-Ouest. Il vit aujourd’hui en région parisienne où il se consacre à l’écriture. Glacé (Prix du meilleur roman francophone du Festival Polar de Cognac, Prix de l’Embouchure,), Le Cercle (Prix des Bibliothèques et des Médiathèques de Grand Cogn...

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Bernard Minier est né à Béziers et a grandi dans le Sud-Ouest. Il vit aujourd’hui en région parisienne où il se consacre à l’écriture. Glacé (Prix du meilleur roman francophone du Festival Polar de Cognac, Prix de l’Embouchure,), Le Cercle (Prix des Bibliothèques et des Médiathèques de Grand Cognac), N’éteins pas la lumière et Une putain d’histoire (Prix du roman francophone du Festival Polar de Cognac) ont fait de lui un auteur incontournable du polar français. Ses romans sont traduits dans dix-huit langues.

Vidéos relatives à l'auteur

  • Vivez un moment d’exception avec Bernard Minier

    Découvrez Nuit  le dernier roman de Bernard Minier et tentez de gagner l'un des exemplaires mis en jeu ! Le flic Servaz revient dans un nouveau roman après une incursion dans une fiction télé. Ce nouveau thriller est le livre des retrouvailles entre le flic...

Articles en lien avec Bernard Minier (2)

Avis sur cet auteur (271)

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    Couverture du livre « Glacé » de Bernard Minier aux éditions Pocket

    Bagus35 sur Glacé de Bernard Minier

    Servaz qui enquête sur le meurtre d'un SDF par un trio de jeunes est envoyé par sa hiérarchie dans les Pyrénées pour découvrir qui a pu décapiter le cheval d'un riche propriétaire .Pas du tout satisfait de cette nouvelle affectation ,il compte bien clôturer l'affaire pour retourner à son enquête...
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    Servaz qui enquête sur le meurtre d'un SDF par un trio de jeunes est envoyé par sa hiérarchie dans les Pyrénées pour découvrir qui a pu décapiter le cheval d'un riche propriétaire .Pas du tout satisfait de cette nouvelle affectation ,il compte bien clôturer l'affaire pour retourner à son enquête à Toulouse .Mais la découverte d'un homme pendu sous un pont va l'obliger à s'investir un peu plus .Un bon polar ,sous la neige , avec de nombreux rebondissements et un duo d'enquêteurs attachants .

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    Couverture du livre « Un oeil dans la nuit » de Bernard Minier aux éditions Xo

    Michel Giraud sur Un oeil dans la nuit de Bernard Minier

    Un mourant confie une cé USB à un prêtre, s'accusant d'avoir été l'enfer. Le destinataire de cette clé, un ancien producteur de films d'horreur, se suicide immédiatement.
    À l'hôpital psychiatrique de Toulouse, un malade est sauvagement torturé et assassiné. Son voisin de chambre,...
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    Un mourant confie une cé USB à un prêtre, s'accusant d'avoir été l'enfer. Le destinataire de cette clé, un ancien producteur de films d'horreur, se suicide immédiatement.
    À l'hôpital psychiatrique de Toulouse, un malade est sauvagement torturé et assassiné. Son voisin de chambre, mystérieusement disparu, est immédiatement soupçonné. Le mort avait travaillé comme technicien sur des tournages de films d'horreur. Le commandant Servaz et son équipe sont chargés de l'enquête.
    Judith, une étudiante en cinéma, jubile : elle a réussi à obtenir un rendez-vous avec Morbus Delacroix, un réalisateur star de films d'horreur, retiré dans les Pyrénées.
    Servaz et son équipe vont plonger dans l'horreur...

    Le moins que l'on puisse dire c'est que le scénario de ce polar, avec ses trois enquêtes parallèles, va dérouter plus d'un lecteur. Il faut toute l'habileté de Bernard Minier pour redonner un semblant de cohérence au dénouement.
    Mais la ficelle est un peu trop grosse, et le scénario trop gore, pour que je me laisse convaincre, un peu comme avec "La saignée" de Cédric Sire. Le talent de conteur de bonnes histoires de l'auteur me semble un peu gâché.
    Que dire des personnages ? On connaît bien Servaz et son équipe, héros récurrents de B. Minier. Les autres protagonistes, à une exception près, apparaissent aussi sombres et violents que les films qui servent de prétexte à l'intrigue. De quoi donner des frissons d'horreur, ou de terreur...
    Il a fallu toute ma curiosité et le talent de conteur de Bernard Minier pour réussi à capter mon attention jusqu'à la dernière page. Car, franchement, il y a des moments où l'on a envie de refermer le livre et d'interrompre définitivement cette plongée dans l'horreur à laquelle nous convie l'auteur.

    Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2024/11/25/un-oeil-dans-la-nuit-de-bernard-minier-chez-pocket-une-plongee-dans-lhorreur/

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    Couverture du livre « Un oeil dans la nuit » de Bernard Minier aux éditions Xo

    Sevlipp sur Un oeil dans la nuit de Bernard Minier

    Un Minier pur jus.
    Comme d'habitude des meurtres à gogo, des flics en danger, un ou des psychopathes, une course contre la montre et les atermoiements sentimentaux et familiaux habituels du commandant.
    C'est morbide, rythmé et dévoile une nouvelle fois ce que l'âme humaine à de pire.
    Et puis,...
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    Un Minier pur jus.
    Comme d'habitude des meurtres à gogo, des flics en danger, un ou des psychopathes, une course contre la montre et les atermoiements sentimentaux et familiaux habituels du commandant.
    C'est morbide, rythmé et dévoile une nouvelle fois ce que l'âme humaine à de pire.
    Et puis, ce clin d'oeil à Thilliez quand Servaz serre la main de Sharko au 36, ;-)
    Un bon cru

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    Couverture du livre « Les effacées » de Bernard Minier aux éditions Xo

    Aa67 sur Les effacées de Bernard Minier

    Lucia et ses collègues se séparent pour élucider plus rapidement 2 enquêtes différentes.

    Lucia Guerrero m’est apparue intéressante, dynamique pour ne pas dire superwoman dans cette enquête. Elle bosse à tout va, est sur tous les fronts, y met tripes et âme. Cela abouti à un thriller qui file...
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    Lucia et ses collègues se séparent pour élucider plus rapidement 2 enquêtes différentes.

    Lucia Guerrero m’est apparue intéressante, dynamique pour ne pas dire superwoman dans cette enquête. Elle bosse à tout va, est sur tous les fronts, y met tripes et âme. Cela abouti à un thriller qui file à 100 à l’heure. Du franc parler de cette enquêtrice jusqu’aux éléments découverts au fur et à mesure, tout se passe dans un esprit fonceur, hardi, casse-cou. Une sorte d’énergie à toute épreuve. Pas de temps mord, aussi bien pour l’enquête de Lucia que pour celle de ses collègues.

    Le rythme est soutenu, les dialogues se tiennent, les éléments trouvés sont diaboliques. On voyage agréablement, on rêve parfois, on frissonne fréquemment et juste ce qu’il faut. Pas de scènes déplaisantes, pas de situations tirées par les cheveux ; bref, des chaînons qui tiennent la route.

    Deux mots concernant l’environnement et l’histoire des deux enquêtes menées de front.
    Pour l’une on est en Galice. Des femmes se levant tôt pour aller bosser disparaissent, comme effacées de la planète. Effacées car le monde ne les voit pas, effacées tant leurs fonctions sont invisibles aux yeux d’une grande partie de la population. Le cinquième jour elles sont retrouvées assassinées, des instruments rituels à leurs côtés. Aria, le collègue de Lucia va devoir se charger de cette enquête puisque Lucia doit résoudre un autre mystère dans la capitale espagnole.
    La seconde énigme se passe à Madrid. Le corps d’un richissime homme de la jet set vient d’être retrouvé, lui-même suivi par toute une série d’assassinats de milliardaires dont les murs des maison sont tagués avec une phrase macabre annonçant ‘’Tuons les riches’’. Comme l’annonçait la quatrième de couv., les enjeux apparaissant peu à peu à Lucia sont vertigineux.

    La situation induit ainsi la séparation de l’équipe policière de la Guardia Civile où travaillent habituellement Lucia. Les uns en Galice, les autres à Madrid. Ça nous change un peu des polars standards ou de ceux traitant d’une enquête liée au présent en parallèle d’un cold case lié au passé. On doit faire fonctionner un peu sa mémoire pour passer d’une histoire à l’autre. On voyage d’une région à l’autre. C’est si bien fait qu’au changement de chapitre je me disais ‘’mais zut, je n’avais pas envie de les lâcher maintenant… et vite la seconde histoire me happait tout autant’’.

    Puis arrive ce troublant sms que reçoit Lucia : ne serait-elle qu’un jouet pour les deux tueurs des deux affaires ? Ca va alors avancer encore plus vite et on se demande où tout ça va nous mener. Et là, pouf ! il y a bien une fin mais elle m’est apparue un peu bizarre, floue, de l’ordre de l’inachevé, me laissant une forte présomption, celle d’une probable suite pour ce polar.

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