Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Parce qu'à l'époque romantique, une célébrité de la Comédie-Française lançait Veules-en-Caux, ce havre pittoresque mer et campagne où les moulins tournaient sur le plus petit fleuve de France aux cressonnières réputées, on accourait de Paris pour jouir des premiers bains de mer dans ce « coin de paradis » où la reine des fleurs s'imposa tant, qu'il changea de nom !
Que d'artistes, écrivains, peintres remontèrent les Champs-Elysées de Veulesles-Roses !
« Je suis déjà fanatique de Veules » écrit l'historien Michelet à l'écrivain Paul Meurice qui reçoit, ici, chaque été, Victor Hugo.
« Veules est d'une beauté que rien n'égale... on s'y baigne en famille... » renchérit Victorien Sardou, tandis que l'aquarelliste Camille Marchand organise les fêtes.
C'était hier ! C'est aujourd'hui.
Le modernisme de notre époque, ici, n'a rien défiguré. Le charme authentique demeure dans la station balnéaire, où flotte sur sa plage de sable la plus étendue de la côte d'Albâtre, le drapeau européen pour la pureté de son eau. On y accueille les pêcheurs. On savoure le cresson de sa petite rivière qui fait tourner ses moulins. Sa gamme de festivités est sans égale.
Avec Manoëlle Miquel-Regnauld, écrivain normand, amoureuse de la villégiature toujours fleurie, remontons son histoire sous sa plume alerte, poétique et humoristique, à travers une riche illustration.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile