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Bon an mal an, on trouve toujours un roman pour lui accorder le qualificatif de chef-d'oeuvre. Et quand, un jour, le vrai chef-d'oeuvre apparaît, il n'y a presque personne pour le signaler.
Ainsi, pour L'Atelier du roman, revenir sur Le Triomphe de Thomas Zins de Matthieu Jung, un an après sa publication aux Éditions Anne Carrière, était une sorte de devoir.
Réunir plusieurs sensibilités différentes autour de la même oeuvre constitue une sorte de dialogue esthétique - de nos jours plus que nécessaire. Car c'est par le croisement de nos lectures que les romans s'enrichissent et peuvent tenir face aux puissances de l'éphémère.
Dans le reste de la matière, ce dialogue prend d'autres formes (critiques, nouvelles, chroniques et réflexions libres) et bifurque aussi vers des districts extra-romanesques (la poésie, la danse), sans jamais perdre le lien avec les dessins humoristiques de Sempé.
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