Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Protection des instruments de musique traditionnels du burkina faso

Couverture du livre « Protection des instruments de musique traditionnels du burkina faso » de Louari-Y aux éditions Editions Universitaires Europeennes
Résumé:

Des fouilles archéologiques ont montré que les instruments de musique ont existé depuis la préhistoire. Les phénomènes sociaux qui ont été à l'origine de leur apparition sont de divers ordres. Selon la théorie du musicologue français André SCHAEFFNER, la musique est née dans le corps de l'homme... Voir plus

Des fouilles archéologiques ont montré que les instruments de musique ont existé depuis la préhistoire. Les phénomènes sociaux qui ont été à l'origine de leur apparition sont de divers ordres. Selon la théorie du musicologue français André SCHAEFFNER, la musique est née dans le corps de l'homme et de ses activités. L'un des pans importants de la culture burkinabé est le domaine de la musique et de la danse traditionnelle où on dénombre de multiples instruments de musique, véritables objets d'arts. Ces instruments de musique traditionnels burkinabé sont tous utilisés pour des fonctions précises : pratiques rituelles, festives ou religieuses. Ils sont regroupés en membranophones, idiophones, aérophones et cordophones. Le constat aujourd'hui, ce patrimoine subit les affres de l'homme au point de courir vers sa disparition. Il existe cependant, une législation qui balise le terrain d'action des acteurs et permet d'assurer la protection et la promotion du patrimoine culturel, secteur dont relèvent les instruments de musique traditionnels. Il est urgent de prendre des mesures propres et efficaces, afin de protéger et promouvoir ce patrimoine, véritable élément d'identité culturelle.

Donner votre avis

Donnez votre avis sur ce livre

Pour donner votre avis vous devez vous identifier, ou vous inscrire si vous n'avez pas encore de compte.