80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En 1861, l'abbé Caudéran, faisait paraître ce qu'il appela un "essai grammatical" sur le parler bordelais. Par "bordelais", l'abbé Caudéran entendait bien évidemment le parler GASCON de Bordeaux et de ses environs. Voilà donc à peine un siècle et demi, on parlait encore gascon si couramment à Bordeaux que l'on pouvait en établir une grammaire ! Dans un style délicieusement suranné, l'abbé Caudéran vous fait découvrir - ou bien redécouvrir - les grands traits de ce parler gascon (en le comparant aux dialectes voisins) qui fut, des siècles durant à Bordeaux, langue d'état, langue des Princes comme des humbles.
En 1861, l'abat Caudéran, hadèva paréisher un "assai gramaticau" sus lo parlar bordalés. Per "bordalés", l'abat Caudéran qu'entenèva plan segur lo parlar GASCON de Bordèu e de sos entorns. Atau donc, un sègle e miei-a - tot dòi -, que's parlava encoèra gascon tan correntament a Bordèu que ne'n podèvan establir ua gramatica ! Dab un estile qui flaira bon la mòda vielha, l'abat Caudéran que'vs hè conéisher - o tornar conéisher - los grands trèits de 'queth parlar gascon (en bèth l'acomparar aus dialèctes vesins) qui estó, sègles adarron, a Bordèu, lenga d'estat, lenga deus Princis taplan com de la gentalha.
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