"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au milieu des années 1930, Paul Facchetti ouvre à Paris un studio photographique au 198 rue Saint-Jacques et s'engage dans la photographie de portrait. Après guerre, il expose au Salon national de la photographie de la Bibliothèque nationale aux côtés de Brassaï, Izis, Boubat et Doisneau. En 1948, il s'agrandit au 17 rue de Lille et démultiplie les genres : photos de mode, de publicité, portraits et nus, compositions abstraites. Il intègre alors le groupe de la Subjektive Fotografie autour d'Otto Steinert. Et transforme à partir de 1951 son studio en galerie d'art ouverte à l'abstraction lyrique et à l'expressionnisme abstrait. Il expose Pollock en Europe pour la première fois. C'est alors à la confluence des arts qu'il réalise les portraits d'artistes et de gens de lettres qui l'entourent (Dali, Breton, Paulhan, Michaux, Dubuffet, Truman Capote...). Si son activité de galeriste passe alors au premier plan, il continuera, de manière discrète et obstinée, son oeuvre photographique.
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