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Pathology du rugby : Quoi de neuf en 2024 ?

Couverture du livre « Pathology du rugby : Quoi de neuf en 2024 ? » de Collectif et Jean-Marc Vital et Jean-Philippe Hager aux éditions Sauramps Medical
  • Nombre de pages : (-)
  • Collection : (-)
  • Genre : Médecine
  • Thème : Paramédical
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Cet ouvrage fait suite à deux livres équivalents qui ont été édités tous les 10 ans en 2004 (au début du professionnalisme), en 2014 (avec une vraie structuration du suivi médical des rugbymen), et maintenant en 2024 avec de nouveaux axes de prévention et de recherche.



Les thèmes choisis... Voir plus

Cet ouvrage fait suite à deux livres équivalents qui ont été édités tous les 10 ans en 2004 (au début du professionnalisme), en 2014 (avec une vraie structuration du suivi médical des rugbymen), et maintenant en 2024 avec de nouveaux axes de prévention et de recherche.



Les thèmes choisis qui intéresseront donc à la fois médecins et kinésithérapeutes ont été en partie inspirés des travaux entamés à l'Académie Nationale de Médecine (ANM) sur « les effets néfastes et tardifs du sport intensif » pour s'intéresser au devenir des anciens joueurs de rugby.



Ils concernent :

- l'arthrose, incontestablement accélérée du fait des macro et micro-traumatismes répétés aux membres supérieurs, inférieurs et au rachis.

- les commotions cérébrales (CC) qui constituent un problème majeur avec d'énormes progrès réalisés en termes de dépistage clinique, d'évaluation notamment par l'imagerie fonctionnelle, d'analyse des accélérations subies en entrainement ou durant les matchs par les protège-dents connectés et surtout de moyens thérapeutiques nombreux, le tout pour éviter la redoutable encéphalopathie post-traumatique qui fait la gravité du sujet.



En termes de prévention beaucoup a été fait au sein de la FFR pour diminuer la fréquence de ces CC et surtout des impacts sous commotionnels (sub-commotions) beaucoup plus difficiles à dépister mais aux conséquences, s'ils sont répétés, tout aussi si ce n'est plus graves que celles dues aux CC.

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