80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Relier les peintures pariétales à sa problématique psycho-corporelle n'était pas si bête. Les deux étaient apparues simultanément, la seconde sûrement issue des premières. C'était en même temps un questionnement sur ses sentiments, face aux événements liés aux autres. Depuis toujours, l'homme éprouvait cela, avait grandi en cela, dans le ressentiment parfois, mais aussi les pressentiments. Monsieur Brun en avait un. Cette histoire méritait une belle fin. Sinon, à quoi bon traverser les millénaires pour finir en simple musée, à moins que celui-ci ne soit vivant. C'était là la question. Il en avait tous les symptômes en tout cas. A minima, il fallait manier l'ensemble avec des pincettes, et son rôle dans cette équipe le surpassait peut-être. Il en était conscient, tout comme de ces sciences et pseudosciences.
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