Avec son fils Nicolas, jeune autiste adulte, en miroir, l'auteur s'intéresse aux impacts que cet accident de la vie a eus sur leurs parcours individuels et sur leur capacité à rebondir. Entre autiste et artiste, il n'y a que le glissement d'une consonne. Ce glissement est le fruit du désir d'existence. Michèle Larchez revisite les "clairières" qu'ils ont été amenés créer, elle en tant que mère qui se bat pour l'autonomie de son fils, autant que lui dans ses relations avec autrui. Que de stratégies inventives pour "être au monde" dans sa singularité...
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Dernière réaction par Jean-Thomas ARA il y a 2 jours
Dernière réaction par Yannis Fardeau il y a 5 jours
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