Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Marie-Claude Vaillant-Couturier, dite Maïco, est la fille gâtée de Lucien Vogel, éditeur d'avant-garde, et Cosette de Brunhoff, soeur du créateur de Babar. Adolescente à l'aube des années 30, Maïco danse aux bals russes, pose pour Vogue, croise Aragon, Picasso, Gide, Malraux, bien d'autres... Apprentie peintre à Berlin en pleine montée du nazisme, elle en revient métamorphosée et se tourne vers la photo. Elle fréquente alors les jeunes Capa, Cartier-Bresson, Gerda Taro, qui, comme elle, voient en l'URSS le seul rempart contre le nazisme. En 1933, son reportage clandestin au camp de Dachau est un scoop mondial.
Elle rencontre alors Paul-Vaillant Couturier, rédacteur en chef de L'Humanité, leader communiste et prophète vénéré des « lendemains qui chantent ». Coup de foudre absolu. L'amour et la politique ne feront désormais qu'un. A la mort de Paul, en 1937, la jeune veuve de 25 ans incarne les espoirs du héros du Front Populaire. Résistante de la première heure, déportée à Auschwitz puis à Ravensbrück, son courage est inébranlable. Libérée par l'Armée Rouge, elle choisit de rester auprès des mourants et afin que « le monde sache l'horreur concentrationnaire ».
Seule femme à témoigner au procès de Nuremberg, Maïco avance sans faillir vers Goring et les accusés nazis, devant une assistance saisie par un « effroi sacré », selon Joseph Kessel. Les images de sa déposition implacable font le tour du monde. « Regardez-moi, car à travers mes yeux, ce sont des centaines de milliers de morts qui vous regardent, par ma voix ce sont des centaines de milliers de voix qui vous accusent ». Devenue député, elle fera voter à l'Assemblée Nationale l'imprescriptibilité des crimes contre l'humanité, sans jamais renier son dévouement à l'URSS et sa foi communiste.
Marie-Claude Vaillant-Couturier, dite Maïco, est la fille gâtée de Lucien Vogel, éditeur d’avant-garde qui a fondé Vogue, et Cosette de Brunhoff, sœur du créateur de Babar. Adolescente à l’aube des années 30, Maïco danse aux bals russes, pose pour Vogue, croise Aragon, Picasso, Gide, Malraux, bien d’autres… Apprentie peintre à Berlin en pleine montée du nazisme, elle en revient métamorphosée et se tourne vers la photo. Elle fréquente alors les jeunes Capa, Cartier-Bresson, Gerda Taro, qui, comme elle, voient en l’URSS le seul rempart contre le nazisme. En 1933, son reportage clandestin au camp de Dachau est un scoop mondial. Bientôt, elle rencontre le grand amour avec le célèbre communiste Paul-Vaillant Couturier. Dix jours après leur mariage, il meurt brutalement, lui laissant en héritage sa foi en l'URSS, seul rempart contre le nazisme et promesse de lendemains qui chantent. Résistante, déportée à Auschwitz puis à Ravensbrück, selle choisit d'y rester à la libération pour soigner les mourants avant de témoigner au procès de Nuremberg, en 1946. Son récit implacable sur l'honneur concentrationnaire nazie fera le tour du monde.
Albert Einstein a dit « Nous aurons le destin que nous aurons mérité ».
Je ne sais pas si Marie-Claude Vogel a mérité le sien, mais je sais qu’elle a eu un sacré destin. Quelle vie ! Et quel travail réalisé par Yseult Williams pour mettre en exergue cette femme libre, rebelle et humaine qu’a été Marie-Claude Vaillant-Couturier. On l’appelait Maïco est la biographie d'une femme hors norme.
Maïco a grandi dans une famille bourgeoise mais néanmoins bohème. Couturiers, poètes, écrivains, acteurs, metteurs en scène, hommes politiques et d’influence se retrouvent à la Faisanderie, la maison des Vogel à Saint-Germain en Laye. Dès son plus jeune âge Maïco côtoie tous ceux qui font l’Intelligentsia parisienne. Elle va se passionner pour les questions sociétales. Dès lors naîtra chez elle un réel désir d’engagement pour défendre ses idéaux. Après des études d’art en Allemagne, Maïco rentre en France peu de temps avant que le conflit mondial n’éclate. Elle fera la connaissance d’un brillant jeune homme engagé dans le communisme, cause qu’elle va embrasser par amour pour Paul Vaillant-Couturier. Malheureusement, dix jours seulement après son mariage, Maïco devient veuve. En mémoire de son mari et parce qu’elle veut poursuivre son combat, elle étudiera la philosophie du communisme avant d’être déportée au camp de concentration d'Auschwitz, puis de Ravensbrück. À la libération, elle décidera de rester dans ce camp pour accompagner les mourants dans leurs derniers instants. Maïco deviendra la porte-parole des détenus, des déportés et témoignera au procès de Nuremberg. Son récit sur l’horreur nazie fera le tour du monde. Malgré tout ce qu’elle a enduré, Maïco poursuit son engagement aux côtés des plus faibles et des minorités, ce qui lui vaudra de siéger dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Elle s’est éteinte le 11 décembre 1996.
Sa vie a été si riche et intense que l’on a l’impression que Maïco n’en n’a pas vécu une, mais plusieurs. C’est donc le portrait et le destin d’une femme extraordinaire d’intelligence, de courage, de générosité, de beauté, de détermination et d’engagement que nous propose Yseult Williams. On l’appelait Maïco est un livre dense, particulièrement réussi, magnifiquement documenté qui met en lumière une femme aujourd’hui méconnue du grand public. En 2015, alors même que tout le monde s’accordait à dire que Marie-Claude Vaillant-Couturier avait été l’une des grandes héroïnes du XXe siècle, les portes du Panthéon sont restées closes. Heureusement qu’il y a des écrivains pour honorer la mémoire d’êtres hors du commun à l'instar de Maïco.
On l’appelait Maïco est un remarquable document qui se lit comme un roman. Il fait partie de la sélection du Grand Prix des Lectrices ELLE 2022. Un bel hommage à découvrir.
https://the-fab-blog.blogspot.com/2022/03/mon-avis-sur-on-lappelait-maico-de.html
Yseult Wlliams retrouve dans ce récit une famille d'exception qu'elle avait déjà racontée dans "La splendeur des Brunhoff"(que j'ai très envie de découvrir aussi), celle de Jean de Brunhoff, créateur de Babar et de sa soeur, Cosette qui, avec son mari Lucien Vogel, a fondé les non moins célèbres magazines "Vogue" ou "Vu" (ancêtre de "Paris Match").
Cette fois, Yseult Williams s'intéresse à la jeunesse de Marie-Claude Vaillant-Couturier, la fille de Cosette et Lucien, restituant à travers les yeux de cette femme engagée, le destin de la France des années 30 jusqu'aux lendemains de la guerre.
Et c'est avec une fébrilité et une émotion croissantes que l'on parcourt cette biographie, à la découverte d'une jeune femme vive et intelligente, photographe et reporter, fréquentant Gide, Malraux, Cartier-Bresson, Robert Capa ou encore Aragon, impliquée dans la lutte contre toutes les oppressions, fidèle militante du Parti Communiste, et déterminée à défendre les droits des femmes.
Militante née, armée de son appareil photo et de ses idéaux, elle parcourt d'abord l'Europe qui vacille sous les assauts des fascismes de tous bords, rencontre Hitler, fait publier les premières images de Dachau. Puis devenue résistante pendant la guerre, elle est emprisonnée et déportée. Ainsi à ses nombreux engagements viendra s'ajouter après-guerre celui de raconter l'horreur des camps et de dénoncer les crimes nazis dont elle a été le témoin direct, elle qui a survécu.
Ainsi, Yseult Williams reconstitue le destin passionnant d'une femme qui se sera battue toute sa vie, et dont on ne parle pas assez. Merci à elle d'avoir mis en lumière Maïco, la révoltée qui clôture en beauté mes lectures de l'année 2021!
Un pedigree qui aurait pu avoir raison d’une vie sans histoire autre que des rendez-vous avec la grande Histoire mais Marie-Claude Vaillant-Couturier a traversé le siècle en conquérante, héroïne d’une période où le monde a basculé dans la barbarie. Jamais rassasiée d’idéal elle a poussé son engagement jusqu’à quitter Auschwitz avec les derniers survivants français. Sans faillir, elle a témoigné au procès de Nuremberg : sans elle pas de voix de femmes entendues à cette occasion. Son entêtement l’a poussée à soutenir le communisme jusqu’à la fin de sa vie sans transiger. Un engagement aveugle et radical qui ne l’a pas empêchée d’accéder à la députation, mais qui lui a valu sans doute sa place au Panthéon à côté de son amie Geneviève Anthonioz de Gaulle. Mais quelle vie !
Certains destins semblent écrits à l’avance, inscrits dans le marbre. Un irrésistible instinct gouverne leur trajectoire. Et c’est le cas pour Maïco, Marie-Claude Vaillant-Couturier. Avant de découvrir sa biographie, son nom évoquait le vague souvenir d’une existence médiatique, qui correspond , je l’ai redécouvert aux cours des pages, à la période où elle fut vice-présidente de l’Assemblée nationale dans les années 60. Mais à l’époque je n’imaginais pas qui se cachait derrière la femme politique.
La jeunesse est peu remarquable, hormis la détermination farouche qui l’anime, c’est une jeune fille de bonne famille côtoyant des célébrités. Cependant l’engagement est assez précoce, séduite à la fois par les idées et par l’un des chefs de file du parti communiste, Paul Vaillant- Couturier, qu’elle épousera quelques jours avant de devenir veuve !
On retiendra aussi le militantisme actif auprès d’un parti dont les idées séduisantes sur le papier, promettant des « lendemains qui chantent » révèle bien vite ses failles, que la jeune femme refuse d’admettre. C’est aussi ce militantisme qui lui vaudra d’être déportée et de passer quatre
ans dans les camps de la mort, qu’elle n’a pas quittés au moment de leur libération pour venir en aide aux détenus encore sur place, et prendre part à leur évacuation. Une cause qu’elle défendra tout au long de sa vie.
Une vie hors norme, remarquable et louable, et une excellente enquête d’Yseult Williams, qui relate avec beaucoup de talent l’itinéraire de Maïco, avec une écriture vivante, reflet de la profonde admiration que suscite cette héroïne.
J’étais très enthousiaste à l’idée de lire une bio, passionnée par l’histoire, et les portraits de femmes, plus rares, sont toujours intéressants. J’ai trouvé toute la première partie du livre un peu longue, avec ce défilé de personnages, certains connus, d’autres moins voire pas du tout, du monde de la presse communiste des années 1930 en France. Lucien Vogel est très présent (trop ?) mais c’était sans doute nécessaire pour comprendre (les chiens ne faisant pas des chats) d’où lui vient ce militantisme, à cette jeune Marie-Claude, baptisée Maïco par ses parents et amis. Un monde bourgeois, à la limite de l’entre-soi, mais que Marie-Claude transformera au gré de l’Histoire. Le style journalistique que j'apprécie généralement, m'a un peu dérangée ici. J’ai trouvé Maïco noyée parmi tous ces hommes, bien souvent, même si quelques femmes émergent, et que le récit, plus général, nous l’éloignait, du moins dans les deux premières parties. Les deux autres parties sont plus intéressantes, et Maïco, plus proche, si proche qu’on vit avec elle, se révèle à elle-même, dans ce camp de la mort, et le livre prend alors tout son sens. Il révèle une personnalité, courageuse, au milieu de ses semblables, loin des hautes sphères d’une bourgeoisie cultivant une forme de capitalisme (qu’elle reprochera à son père) sous couvert de lutte ouvrière. Je connaissais Paul-Vaillant Couturier, plus pour les noms de rues très honnêtement, mais j’ignorais le destin de son épouse. J’ai appris beaucoup sur le communisme, la presse, et cette Europe des années 1930, celle des soupes populaires et du climat social tendu, préfigurant le
drame qui allait bientôt déferler.
Yseult Williams nous livre ici un document très complet sur Marie Claude Vaillant Couturier, surnommée Maïco, épouse de Paul Vaillant Couturier, fervente militante du parti communiste et de l’Union Soviétique dont elle idéalisera le régime. Elle luttera toute sa vie pour l’égalité des classes. C’est seulement dans l’intimité qu’elle reconnaitra avoir été aveuglée par ce régime, lorsqu’après la mort de Staline, les victimes du goulag raconteront les horreurs perpétrées par ce modèle soi-disant égalitaire.
Mais, ne commençons pas par la fin de cet excellent document.
Maïco est née dans une grande famille du côté de sa mère, les Brunhoff, sujet d’un précédent livre d’Yseult Williams « La splendeur des Brunhoff », son grand père créa le personnage de Babar. Son père, Lucien Vogel est l’éditeur du magazine « Vogue » en France. Elle évolue dés son plus jeune âge au milieu d’artistes en tous genres (peintres, écrivains, couturiers) et de personnages politiques français ou étrangers en exil que son père héberge à la « Faisanderie ».
Elle milite très tôt pour le Parti Communiste, lutte pour l’égalité des classes, et admire le régime soviétique pour cela.
Elle aura une vie amoureuse mouvementée et finira par épouser Paul Vaillant Couturier de 20 ans son aîné.
Comme résistante elle sera déportée à Auschwitz puis à Ravensbrück durant presque 3 ans et malgré la libération du camp par les russes en 1945, elle y restera encore afin de soigner les malades et quittera le camp en dernier.
Son témoignage au procès de Nuremberg, en partie retranscrit ici est poignant et édifiant.
Marie Claude Vaillant Couturier est décédée le 11 décembre 1996 à l’âge de 84.
Ce document d’une écriture fluide et rythmée se lit comme un roman. On y découvre une partie de l’histoire mondiale et l’évolution de la politique française de 1930 à 1955.Tout cela au travers de cette grande dame forte et courageuse pour qui « perdre espoir » ne faisait pas partie de son vocabulaire.
En plus d’une belle leçon d’histoire, ce document est une belle leçon d’humilité face à ce destin exceptionnel d’une femme tout autant exceptionnelle.
Ce livre m'a permis de découvrir une femme, pour ma part, je ne connaissais pas du tout Marie Claude Vaillant Couturier, ni son époux, ni sa famille, les Vogel/Brunhoff.
J'ai trouvé passionnant cette biographie de cette femme, fille de, femme de mais surtout une personnalité unique et qui a sa propre existence dans les années 30-40, Yseult Williams nous décrit très bien, avec beaucoup de précisions, de références, cette période des années 30-40 : foisonnante du point de vue politique (description de la création du parti communiste français, du front populaire, la situation en Russie et dans les pays de l'Esta guerre d'Espagne, des années d'occupation et des années du retour des camps..), par le foisonnement de la presse écrite (la création de journaux, le père et la mère de Maïco vont créer la version française du magazine de mode américain, Vogue et le magazine Vu, sorte de paris Match qui va faire travaillé les meilleurs plumes et les meilleurs photographes de l'époque), foisonnement des arts, lde a peinture, de la littérature, du théâtre, du cinéma, des sciences (description des déjeuners du dimanches chez le patron de Vu qui rassemble intelligentsia parisienne et des joutes littéraires, politiques autour du thé ou du café) et foisonnement social (la situation des exilés, que ce soit des russes blancs, que ce soit les espagnols, la situation économique de l'Allemagne des années 30...)
A travers le portrait intime de Marie Claude Vailant Couturier, l'une des premières photographes de presse (elle a réalisé les premières photos d'un camps nazi à Dachau en 1933!),à travers sa vie intime de fille de (ses rapports avec son père et sa mère, deux fortes personnalités, sa sœur.., elle va essayer de faire sa propre place dans le milieu de la presse.. Elle ne souhaite pas être mannequin, même si jeune enfant elle a posé pour les pages du magazine de son père, ni photographe mondain, pour les pages du magazine que sa mère écrit dans Vogue. Elle va tenter de faire des études d'art (une année en 1930 à Berlin) mais elle va vite se tourner vers la photographie de presse et suivre des journalistes pour des reportages à l'étranger. Sa vie d'engagement, peut être être de gauche et communiste quand nous sommes issus et vivons comme des bourgeois, questionne t elle son père. Sa vie de femme de, quand elle rencontre et épouse Paul Vaillant Couturier, leader imminent communiste, son aîné de 20 ans et qui quitte sa femme pour elle, jeune fille. Elle va d'ailleurs prendre des cours du soir de marxisme et adhérer au Parti même si elle ne suit pas toujours la ligne du Parti. Elle va s'engager dans la résistance et être déportée . Des pages terribles sur la vie des camps. Elle va d'ailleurs être la seule femme qui va témoigner au procès de Nuremberg et être l'une des députées élues à la libération à l'Assemblée Nationale et elle va faire voter l’imprescriptibilité des crimes contre l'humanité.
Ce livre est donc le récit des années 30-40 et le portrait intime, sensible d'une femme engagée dans son époque, dans son temps. Foisonnant de références, de personnalités rencontrées, côtoyées, mais nous suivons très bien ces années. Le fait de quelquefois prénommer ces personnes nous les rend peut être un peu plus touchants, même si à quelques moment, nous nous perdons dans ces vies. Une vie digne d'un roman et qui ferait un très bon film. Et je me questionne tout de même sur le peu d'informations sur cette femme si remarquable. Ce texte m'a donné envie de découvrir le texte que Yseult Wiliam a écrit sur les Brunhoff, la famille de la mère de Maïco et dont son oncle a crée le personnage Babar.
Babar, Vogue France, Jardin des modes, Vu... que de publications en ce début XXème siècle pour la grande famille Vogel-De Brunhoff.
Après s'être intéressée à l’histoire de la famille de Babar, dans « La spendeur des Brunhoff », Yseult Williams nous propose ici un essai consacré à Marie-Claude Vogel, nièce de Jean de Brunhoff qui a donné naissance à Babar et fille de Lucien Vogel et de Causette de Brunhoff.
De par la profession de ses parents à l’origine de la revue Vogue en France, Marie-Claire, surnommée par tous Maïco va grandir entourée d’hommes de lettres, artistes ou personnalités engagées. Rapidement, la jeune femme va se passionner par les idées soutenues par le parti communiste et y faire son entrée dans une période où le nazisme va émerger… Résistante et prônant une presse libre et engagée, Maïco, va proposer de nombreux reportages qui resteront gravés dans l’Histoire française.
Par son travail d'écriture, Yseult Williams nous propose une très intéressante biographie de la vie de cette jeune femme engagée par les causes qui lui sont chères. Tout au long de ma lecture j'ai, a de nombreuses reprises, regardé sur internet les travaux que Maïco a réalisé. Avant la lecture de cet ouvrage, je ne connaissais de cette famille que la création de Babar, un personnage important de ma jeunesse. J'ai été contente de découvrir l'histoire de la presse de l'époque ainsi que la vie de cette jeune femme. Je regrette néanmoins, même si son histoire est connue d'un grand nombre de personne, que le résumé de la quatrième de couverture soit autant détaillé.
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