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Comment l'École des mines de Paris a-t-elle traversé les tempêtes révolutionnaires et napoléoniennes ? Qu'enseignait-on aux premiers élèves ? Quand les étudiants ont-ils renoncé au vouvoiement ? Que s'est-il passé au 60 boulevard Saint Michel entre 1914 et 1918 ?
Gabriel Chesneau, directeur de l'École de 1918 à 1929, dit tout et lègue un ouvrage d'érudition amoureuse, quelques mois seulement avant l'édification de la "Maison des Mines et des Ponts".
Histoire du bâtiment, évolutions pédagogiques, relations avec l'industrie et l'État... C'est un regard particulier, objectivement subjectif, fourmillant de détails et non sans tendresse pour l'esprit de fami qui règne dans cette maison, que jette l'auteur sur "la Mine".
Un livre pour toucher du doigt ce qui fait l'âme de cette Grande École d'Ingénieur et que définissait ainsi un "jeune diplômé" de 1932 : "Le mineur de Paris sait que pour réussir, il lui faudra deux choses : la compétence et le sourire".
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