"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Aucun résumé n'est disponible pour cet ouvrage actuellement...
Du bon noir, épais, poisseux, celui qui croise la route des proscrits, des sans-grades. Tout ce que j’aime !
Deux histoires déjà éditées se retrouvent dans ce premier recueil.
« Qu’elle crève la charogne » raconte l’histoire de Denis, musicien loser qui entrevoit enfin les portes du succès…oui mais Célia est collée à lui et il est habité jour et nuit par un cauchemar … il y retrouve Célia et un cadavre…
« Bonne fête maman » parle d’un tueur. Il tue des femmes… jusqu’au jour où il croise un ange. Celle qu’il attendait, celle qui pourrait le faire changer de vie…
Graphiquement, c’est fort et puissant. On retrouve le trait de Moynot, beau et tranchant, un gris habilement teinté de quelques couleurs. Les personnages sont tous très réussis, on les croirait tout droit sortis d’un roman de Hammett, Chandler, Thompson ou Léo Malet. Et les femmes bien sûr… victimes ou manipulatrices, révélatrices de la lâcheté masculine.
Au final, un excellent premier recueil qui remet le noir en lumière. Un noir où Emmanuel Moynot excelle
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !