80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ce livre est le fruit d'un stage effectué à la Société d'Entraide et D'Action Psychologique (SEDAP), association de soin et de prévention en addictologie située à Dijon, durant une durée de six mois. Au cours de ce stage, plusieurs missions m'ont été confiées dont le projet « Bien Jouer » (prévention des jeux de hasard et d'argent chez les mineurs) et le projet « FABER » concernant le même type de jeu chez les personnes âgées de 55 ans et plus dites seniors. Ce travail collaboratif entre la SEDAP et l'Université de Bourgogne (Centre Georges Chevrier) a servi de base pour établir le sujet sur lequel j'allais travailler. La problématique portait sur la retraite et en particulier sur le changement de pratique de jeu après la fin de vie active. Le but était d'identifier, à travers les entretiens de joueurs seniors, un changement d'attitude ou de comportement lors de la période du vieillissement et si la retraite pouvait être vue comme un facteur de vulnérabilité. Le jeu était-il une habitude ancrée dans la trajectoire de l'individu ou est-il survenu tardivement après la retraite ? Quelles raisons poussent ou ont poussé les seniors vers le jeu ?
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