80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Comment le catéchisme doit-il évoquer le péché originel ?Le péché originel n'a cessé d'être critiqué par les théologiens, depuis Pélage vers l'an 400 jusqu'en 1969, par le jésuite Pierre Teilhard de Chardin. Tout en respectant l'opinion de ceux qui adhèrent encore à ce dogme, l'auteur confirme qu'il est « un faux savoir ». En cela, il rejoint de nombreux théologiens qui considèrent le péché d'Adam comme un mythe.Saint Paul dit : « Je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas ». Face à ce constat toujours d'actualité, le chrétien peut interpréter les causes et mettre en évidence les mécanismes de transmission par l'inconscient grâce à l'approche psychanalytique.Dans cet ouvrage, l'auteur propose que l'Église actualise cette perspective dans le catéchisme.Chrétien, Alain Bèle Guffroy de Rosement s'est toujours intéressé à la psychologie et au christianisme. Durant plusieurs années, il crée un cercle littéraire philosophique à Paris et s'intéresse aux courants de psychanalyse freudien, jungien, et diélien. Vers l'âge de 30 ans, il découvre les oeuvres du prêtre psychanalyste Eugen Drewermann, et du jésuite Pierre Teilhard de Chardin. Il est formé par les Frères des écoles chrétiennes, avant de se tourner vers une carrière scientifique en France et aux États-Unis. Il devient ensuite consultant puis responsable en informatique. À l'âge de la retraite, il s'installe en région PACA et suit des cours de théologie, obtenant un diplôme universitaire dans ce domaine.Il écrit un premier ouvrage, intitulé Teilhard de Chardin, théologien malgré lui.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année