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La taille des marchés financiers est devenue gigantesque. Elle représente huit à neuf fois le PIB mondial. Ces marchés donnent lieu aux transactions sur les titres financiers générés par les dettes publiques et privées. Parmi ces marchés certains sont utiles à l'économie mais les plus importants en volume - les marchés des produits dérivés - y sont nuisibles et ont pris une part active à la crise systémique 2007-2009.
Le capital financier est celui qui se porte sur ces marchés et sur toutes les activités spéculatives. Il assure une rémunération très rapide et lucrative, sans aucune contrepartie de production de biens et de services. Il est devenu la véritable boussole du profit. Il constitue le moteur de la financiarisation de l'économie, celui de sa mondialisation et favorise la prédation des ressources naturelles de la planète. Sa persistance et son développement aggravent les risques d'une nouvelle crise systémique.
Cet ouvrage propose des constats et analyse les dispositions pour en limiter les risques et en réduire l'influence.
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