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L'utilisation des anxiolytiques peut évoluer vers l'usage nocif entraînant des effets néfastes sur la santé. L'absence de données sur le phénomène dans la commune de Parakou au Bénin, suggère d'y mener cette étude en vu de disposer d'un état des lieux sur la question. Il s'agissait d'une étude transversale descriptive à visée analytique menée du 1er Mars au 31 août 2012 et ayant porté sur 720 sujets. La prévalence de l'utilisation des anxiolytiques était 22,6%. Les 25-35 ans étaient plus représentés 36,2% avec une moyenne d'âge de 38,2 ans. Ils étaient composés de : Chrétiens 49,7% et 30,1% d'hommes. Les ethnies majoritaires étaient Fon et apparentés 38,7%. Le stress induit par les évènements significatifs 54,0% était d'intensité moyenne 98,2% chez les femmes et 93,9% chez les hommes les contraignant de consommer 1/4 à 4 comprimés d'anxiolytiques par prise. 81% était à une prise par jour pour réduire l'anxiété induite par le solde difficile du loyer dans la précarité, ne disposant pour revenu mensuel minimum que de 7000 F. 11,7% des enquêtés était déjà dans la tolérance liée aux anxiolytiques faisant craindre à terme les complications d'une dépendance.
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