80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les portes du camp de concentration de Buchenwald se refermaient sur le dernier convoi de déportés en provenance de Compiègne. Il est probable qu'en franchissant le seuil de sa dernière demeure, Louis Bascan se soit rappelé combien cette République à laquelle il avait consacrée sa vie était exigeante. Une rue de Viroflay et un lycée de Rambouillet, portent aujourd'hui son nom. Et pourtant, il reste pour l'immense majorité d'entre nous inconnu. Aussi ce livre vise-t-il à éclairer l'engagement d'un homme pour qui la République ne fut pas seulement un régime politique, mais une philosophie de vie.
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