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La dernière semaine de la vie de l'homme que j'aime.
La semaine qui suit la mort de l'homme que j'aime. La vie sans lui. Et la vie qui recommence. Plus qu'un livre c'est un geste. Une pulsion. Raconter le grand passage de l'être aimé, l'accompagner jusqu'au bout du chemin et guetter les traces de sa vie dans la vie de celle qui reste. L'empreinte de l'amour dans le réel, le fer rouge sur ma peau. Regarder la mort bien en face, l'étreindre, la saluer chaleureusement puis repartir dans la vie.
Absolument. Irrépressiblement. C'est aussi graver dans le marbre une histoire d'amour et puisqu'elle a aussi le visage de la mort ; lui donner sa forme réelle. Une vanité, un crâne d'ivoire aux yeux de rubis. La beauté qui dure au-delà de notre temps. Rester au plus proche du vrai, des émotions, des sensations, des gestes faits ces jours-là. Un journal de bord et la vérité intime toute nue, l'amour pour unique guide.
Pour rester en vie.
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