80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En Afghanistan, au Darfour comme en Haïti, ainsi que dans toutes les autres missions de paix de l'ONU aujourd'hui (presque une vingtaine au total), les espoirs semblent très souvent déçus et les réalisations mitigées et contestées. Pourtant, depuis le début des années 1990, les Nations Unies se retrouvent au coeur des stratégies de prévention et de résolution des conflits, déployant, pendant les deux dernières décennies, des centaines de milliers de Casques bleus pour maintenir une paix fragile, éviter la reprise des conflits, dans des missions d'observation et de surveillance des zones de tensions. Mais l'avènement d'un monde multipolaire marqué par les conflits intra-étatiques a consacré l'obsolescence de la notion même de Casque bleu impartial s'interposant entre des combattants qui en avaient au préalable accepté le principe. Désormais, les soldats des Nations Unies ont un rôle beaucoup plus actif, qui les amène à définir et imposer les normes de la paix. De nouveaux concepts et méthodes ont été développés par divers gouvernements, dont le gouvernement canadien afin de guider ses interventions dans la conduite des missions auxquelles il participe. Ces missions sont-elles davantage efficaces que les missions dites plus traditionnelles ? Donnent-elles des résultats tangibles sur le terrain ? La capacité de l'ONU d'agir de façon autonome et indépendante en est-elle diminuée ? C'est à ces questions que répondent les auteurs de cet ouvrage, à travers les cas riches en enseignements de l'Afghanistan, d'Haïti et du Darfour.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année