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Lorsque, partant de la plaine de l'Hindoustan, et se dirigeant vers le nord, on a franchi, par quelques-uns des cols ou passages qui permettent de la traverser, la formidable barrière connue sous le nom de Himâlaya, où se dressent les plus hautes cimes qui soient à la surface de notre globe, on entre dans un pays très élevé, au milieu de chaînes de montagnes par lesquelles il faut encore passer avant d'atteindre un vaste plateau à peu près inexploré. Cette région est le Tibet, dont le nom se trouve aussi écrit Thibet et parfois Tubet. Le véritable nom est Bod, et, si nous voulions être exacts, nous dirions : pays de Bod. L'appellation en usage vient, à ce que l'on croit, des Turks, des Persans, des Mongols, qui disent Tibet, Tebet, Tobbet, Tubet ; le terme chinois correspondant est Thou-po. On a essayé de rattacher ce nom de Tibet aux mots tibétains Thoub-phod qui signifient « très fort. » Il est plus probable que c'est une altération de Tho-bod (« le haut pays, » par opposition au bas pays des vallées). Quoique les deux étymologies justifient l'emploi de l'h et même de l'u dans le nom du Tibet, nous pensons que le mieux est d'écrire de la façon la plus simple, en s'écartant le moins possible de l'usage reçu, le nom qui nous a été transmis. Nous écrivons donc Tibet par un i et sans h. Ce livre traite de l'histoire du Tibet, de son territoire, son peuple et sa religion.
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