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« Voici un livre inattendu. Troublant et fort. Jacques Norigeon vit avec ses morts et pour un peu ils en ressuciteraient. Dans ce monde étrange où l'on est plus peiné par la mort d'un "people" que par celle de son cousin, Norigeon nous parle à voix basse pour une oraison du soir, une oraison joyeuse souvent, pertinente toujours, chacun traîne sa peine et sa joie, les morts sont parmi nous qui ne les oublions que trop. Jacques Norigeon, pour ceux qui en douterait, nous rappelle que les morts ne sauraient disparaître qu'avec nous et nos mauvaises mémoires. » Lettes d'Aquitaine n° 74 , mars 2007
« Rares sont les espaces qui permettent d'évoquer librement nos chers disparus, parents, amis, collègues. Prétant l'oreille à la parole muette des défunts, Jacques Norigeon leur dédie ces vingt-quatre brèves oraisons pour saluer ceux qu'il a connus, aimés, "sans nier leur disparition mais en affirmant leur présence persistante, résistante". Plutôt qu'un point final, un dialogue s'instaure, un mouvement se fait jour entre deux mondes : d'un côté, celui qui vous a quitté, "pressé d'en finir», tandis que de l'autre, l'image d'une mère revient vous hanter d'une répartie amusée ("T'ai-je dit que je n'étais pas morte en automne / C'est déconseillé par la médecine douce»). La gravité du contenu n'exclut jamais un regard plus distancié et, avec cette nouvelle publication, le discret auteur palois confirme la justesse de son style, vif et concis, toujours prompt à traquer sur la page blanche nos angoisses les plus tenaces. » B. H. (Le Festin n°60, hiver 2007)
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