"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Accusés de tentative de meurtre, Ivar, Kaya et Oswald sont condamnés à un sort pire que la mort. Enfermés dans un royaume en ruines, coupés du monde, il leur reste sept jours d'humanité. Sept jours pendant lesquels le parasite qu'on leur a inoculé va grandir en eux, déformant leur corps et leur esprit pour les changer en monstre. Au terme du compte à rebours, ils seront devenus des berserkirs, des hommes-bêtes enragés destinés à tuer ou être tués sur les champs de bataille. À moins que le légendaire roi des fauves puisse enrayer leur terrible métamorphose ? Mais existe-t-il vraiment ailleurs que dans leur tête ? Commence alors une course contre le temps, où les amis d'hier devront rester forts et soudés, pour lutter contre les autres. et contre eux-mêmes.
Je crois l’avoir déjà dit dans une de mes chroniques : non seulement je suis une vraie froussarde, mais en plus j’ai la sale manie de rêver de mes lectures. Et je ne vais pas y aller par quatre chemins : je sais pertinemment bien que je vais cauchemarder toute la nuit – voire même toute la semaine – à cause de ce livre. Livre qui, bien que particulièrement traumatisant, est vraiment très bon, ne vous y méprenez pas ! Mais si vous êtes du genre sensible et que votre imagination est très fertile durant votre sommeil, je vous conseille tout de même de passer votre chemin … ou de vous acheter une veilleuse, un doudou, ou que sais-je encore pour vous aider à surmonter cette épreuve ! Ouvrir ce livre, c’est plonger dans un univers sombre, voire malsain, c’est suivre l’équilibre précaire d’une âme entre humanité et bestialité, c’est accepter de se laisser embarquer dans une véritable descente aux enfers sans passer par le purgatoire. Vous êtes prévenus !
Alors qu’ils ne cherchaient qu’à ramener un peu de gibier pour nourrir leurs familles, Ivar, Kaya et Oswald se voient accusés de tentative meurtre sur la personne du seigneur Jarl, qui s’est brisé les jambes en tombant dans un précipice tandis qu’il cherchait à exécuter les jeunes braconniers. Et les trois adolescents en viendraient presque à regretter qu’il n’ait pas réussi … Capturés, emprisonnés puis jugés, ils sont finalement condamnés à un sort pire que la mort : destinés à se transformer en berserkirs, ces monstrueux hybrides entre l’homme et la bête, ils n’ont plus que sept jours devant eux avant que leur humanité ne laisse place à la folie la plus meurtrière et la plus incurable. Ils seront ensuite chassés par les braconniers pour être ensuite asservis et exploités par les nobles qui les ont condamnés à cette déchéance. Mais Ivar refuse de se laisser abattre et lutte de toutes ses forces contre cette inexorable transformation, contre cette colère inexplicable qui grandit en lui en réclamant du sang, poussé par la lueur d’espoir que lui insuffle une vision : il existe, quelque part aux fins fonds de ce territoire désolé, un être capable de les sauver de cette malédiction. Alors, bien décidé à éviter à ses deux meilleurs amis ce terrible sort, il les exhorte à tenir bon tandis qu’ils se rapprochent du château où vit le Roi des Fauves …
Ce qui fait la particularité de ce livre, c’est bien l’ambiance qui s’en dégage. Ce n’est pas seulement sombre ou glauque, c’est tout simplement malsain. Parqués dans un immense territoire en ruines, bouclé par un sortilège, les condamnés savent d’avance ce qui va leur arriver, et la crainte et la colère combinées ne font qu’accentuer la folie qui les guette. Il est particulièrement terrifiant de voir ces hommes se changer peu à peu en bêtes assoiffées de sang. Et, en dépit de leur résistance acharnée, nos trois héros ne sont pas épargnés par cette transformation : petit à petit, leur caractère change et se voit remplacé par les instincts de leur animal. Les conflits se font toujours plus forts et toujours plus fréquents, tandis que s’installent les antagonismes naturels entre proies et prédateurs. On se rend finalement compte que notre humanité ne tient qu’à un fil, qu’un petit rien peut transformer l’adolescente la plus altruiste en une jeune femme uniquement soucieuse de sa propre survie au dépend de celle des plus faibles, qu’il n’y a pas besoin de beaucoup pour faire ressurgir les instincts les plus primaires chez un individu équilibré et moral. C’est très intéressant, mais aussi très dérangeant et assez perturbant.
Nous avons ici un trio puissant car ses membres se complètent entre eux : Ivar est celui qui protège, Kaya est celle qui dirige et Oswald est celui qui maintient l’harmonie. Ensemble, ils sont forts, mais à partir du moment où ils sont séparés, ils courent à leur perte. Et le plus terrible dans cette histoire, c’est bien cela : aucun personnage n’est épargné, et le lecteur non plus. Ne vous attendez pas à une happy end avec ce roman : bien que destiné aux adolescents, il offre une fin aussi brutale et noire que le reste du récit. Le lecteur est littéralement plongé dans une ambiance angoissante, éprouvante, qui donne la chair de poule et fait accélérer le rythme cardiaque. Il y a de la violence, dans ce livre, du sang et des tripes, de la chair et des boyaux, mais cela n’est rien comparé à ce que nous apprennent les visions d’Ivar quant au commencement de toute cette sombre affaire. Malgré tout, une petite étincelle d’espérance et de douceur se cache au cœur de l’histoire, tandis que l’innocence perdue d’une fillette se transforme en l’envol majestueux d’un cygne enfin libéré de sa misère. Ce passage fait du bien, je peux vous le dire, une véritable bouffée d’air frais dans cet univers si sombre et si complexe.
Complexe, l’intrigue l’est également : bien plus riche que ne le laisse penser le résumé, qui ne met l’accent que sur cette cruelle transformation sans évoquer le moins le monde ce fameux Roi des Fauves et tout ce qui tourne autour de lui, elle a su me surprendre et m’étonner. Voire même me captiver. Il y a quelque chose derrière ces monstrueuses mutations, une histoire de malédiction et de vengeance, une histoire de pouvoir et de puissance. Je ne peux pas en dire plus pour ne pas gâcher la surprise à ceux qui désirent se lancer, mais je suis vraiment ravie de cette bifurcation imprévue de l’histoire, ravie que le résumé taise cet aspect car mon intérêt a ainsi été renouvelé tandis que je grimaçais face aux descriptions si peu ragoutantes de ces hybrides sanguinaires aveuglés par la haine. Donc si vous aviez peur de vous retrouver face à un remake fantasy de la Métamorphose de Kafka (classique que je n’ai par ailleurs pas réussi à terminer), soyez rassuré : l’histoire ne s’arrête pas là ! Laissez-vous surprendre par ce mystérieux Roi des Fauves qui donne son titre au roman …
Derrière cette magnifique couverture aussi soignée qu’intrigante se cache donc un récit d’une richesse inouïe. Des personnages en proie à la folie, au désespoir et à la perte progressive de leur humanité au profit d’une bestialité sauvage et sanguinaire. Une ambiance oppressante et angoissante qui permet au lecteur de s’identifier à ces condamnés qui sont conscients de ce qu’il va leur arriver sans savoir s’ils parviendront à lutter. Une histoire bien plus complexe qu’elle ne peut le paraitre au premier abord, qui surprend et captive le lecteur sans lui laisser le temps de respirer. Le tout porté par une narration efficace qui va droit au but, sans jamais épargner les lecteurs qui ont intérêt à avoir le cœur bien accroché et à ne pas être sujet aux cauchemars ! Un livre qui perturbe, mais qui se place tout de même dans les bonnes surprises de l’année. Je compte bien lire d’autres romans de l’auteur qui a su attiser ma curiosité avec ce livre qui sort des sentiers battus et qui, finalement, aurait mérité à être un tantinet plus long !
Tout d'abord un grand merci à Livraddict et aux Editions Scrineo pour ce nouveau partenariat, j'ai vraiment été heureuse de recevoir ce livre qui m'a intrigué dès la lecture du résumé.
Dans cette aventure sombre nous suivons trois amis, Kaya, Oswald et Ivar, dans leur quête qui semble perdue d'avance. Dès les premières pages on est tout de suite lâché au milieu de l'histoire, on se retrouve immédiatement au milieu de l'action et il est difficile d'arrêter sa lecture, les chapitres finissant presque toujours par un cliffhanger. Pourtant il le faut bien, car l'aventure est tellement haletante qu'il faut s'arrêter pour pouvoir reprendre son souffle. L'ambiance sombre et pesante n'aide pas à se sentir mieux, mais cette ambiance est ce qui fait la puissance de ce livre. Les descriptions sont en effet vraiment prenantes, terrifiantes, on en frissonne. Je me souviendrais toujours de la description du démon bouc et de tous les monstres que l'on croise dans ce livre. Aurélie Wellenstein ne prend vraiment pas de pincettes et c'est ce qui m'a plu.
Les trois amis, les personnages principaux, j'ai appris à les aimer mais aussi à les détester car leur quête va les pousser à changer et faire des choix qui ne plairont pas forcément. On comprend cependant mieux Ivar, et on s'attache plus à ce personnage car le point de vue interne du narrateur est focalisé sur lui. C'est à travers lui que l'on comprend les changements et les épreuves que doivent aussi endurer les autres, et c'est à travers son angoisse, horriblement bien représentée, que l'on se prend à nous aussi avoir peur. Certaines réactions des personnages m'ont parues un peu décalées par rapport à ce qui leur arrivait, ils riaient dans des situations qui n'y étaient vraiment pas propices, et si ça avait pour but de relâcher la tension j'ai personnellement trouvé cela dommage car ça cassait cette ambiance lourde que j'ai tant aimé. J'ai cependant aimé les descriptions des trois amis au début de l'aventure, on arrive en effet bien à se les représenter physiquement car ils sont bien décrits, et ces descriptions sont vraiment importantes selon moi pour bien comprendre leurs transformations par la suite.
L'histoire en elle même, je ne peux pas vraiment vous en parler car ça gâcherait l'ambiance du livre, mais elle est bien menée, brutale, avec une fin amère que j'ai adoré. J'ai vraiment été prise du début à la fin par le livre, et ses serres ont toujours eu une grand emprise sur moi. Je crois que j'ai dû plusieurs fois arrêter de respirer pendant ma lecture, tant elle était tendue. J'avais l'impression d'avoir tous les monstres qu'ils rencontraient devant moi, de ressentir leur transformation (c'est bon, j'ai checké, je n'ai pas de longues oreilles qui ont poussées pendant ma lecture) tant les descriptions étaient prenantes et l'histoire intense. le monde dans lequel les personnages évoluent m'a aussi beaucoup parlé, entre fantasy (la magie, le cadre moyenâgeux) et mythologie nordique (les légendes des berserkers, ici "berserkirs", ces guerriers qui entrent dans une rage folle ou encore les Valkyries), un savant mélange qui marche vraiment bien !
Alors oui, gros coup de coeur pour le Roi des Fauves d'Aurélie Wellenstein que j'ai été contente de pouvoir rencontrer aux Imaginales pour lui faire part de mon enthousiasme. Je n'ai qu'une hâte : qu'elle sorte un nouveau livre pour que je puisse continuer mon apnée dans son petit monde horrible mais tellement prenant. Bref, en quelques mots : jetez-vous sur ce livre !
http://bookshowl.blogspot.fr/2015/05/le-roi-des-fauves-aurelie-wellenstein.html
(Dans le cadre de ma participation à "Lire en short".)
Ivar vit dans un monde où les habitants des petits villages meurent de faim, où les temps sont durs et où les nobles vivent dans la richesse et l'excès, ayant tous les droits sur les classes inférieures.
Dans ce monde de souffrance et de soumission, les criminels subissent un sort pire que la mort.
Ils sont transformés en berserkirs, «ces hommes-bêtes enragés destinés seulement à tuer ou être tués». Mi-hommes, mi-animaux, ces monstres n'ont d'humain que les yeux, où l'on peut apercevoir un reste d'humanité dans l'océan de leur folie.
Utilisés comme des armes de guerre, ils servent leur maître, soumis à la magie qui les torture et les empêche de céder à leur folie destuctrice.
C'est le destin promis à Ivar, Kaya et Oswald lorsque, condamnés injustement pour meurtre, on leur fait avaler le lerhling, le parasite qui prendra possession de leur corps et de leur âme pour les changer à jamais.
Comment réussir là où tous ont échoué?
Comment préserver son humanité et combattre la bête qui grandit à l'intérieur?
Comment survivre lorsque son pire ennemi n'est autre que soi-même?
Avec Le Roi des Fauves, Aurélie Wellenstein s'assure un grand succès chez les ados comme chez les adultes, avec cet excellent roman mêlant angoisse, action, amitié et affreux dilemmes. Dans ce roman presque gore, captivant, on ne voit rien venir et le suspense torture le lecteur.
Prenez garde. Car tel Ivar ingurgitant le lerhling, un voyage angoissant vous attend en ouvrant ce livre...
Ce livre m'attirait beaucoup en tout point, son illustration, son titre aux lettres rouges, et son synopsis, c'est alors que j'ai profité de l’événement Explo'book pour me le procurer (je vous dis encore merci ^^)
Dès les premières lignes, nous sommes catapultés dans un monde nordique médiéval, ou nos trois héros, Ivar, Kaya, et Oswald, en proie à la famine qui sévit depuis plusieurs temps se décident à partir braconner sur les terres de leur saigneur. C'est alors que tout va très vite, et ils se retrouvent condamnés à devenir des bersekirs, des homme-bêtes. Leur transformation durera 7 jours. 7 jours ou ils devront se battre contre les autres bersekirs et prisonniers, mais aussi contre un ennemi insoupçonné et d'autant plus puissant. Eux-mêmes.
L'univers développé par l'auteur est à l'image de l'illustration sur la 1 ère de couverture, noir et glacial, son style d'écriture est enivrant, nous en venons presque à ressentir chaque tourments que subissent nos héros
Durant le récit, nous passons de l'amour à la haine, du réconfort à la peur, de la joie à la tristesse, et vice-versa.
Les personnages sont très attachants, en particulier celui d'Ivar qui lutte pour garder son humanité au prix d'efforts inhumains.
Kaya et Oswald ne manquent pas non plus de profondeur et de charisme. Nous suivons tout au long de l'histoire le changement de comportement et de mentalité des 3 amis, parfois très marquants
On ne s’ennuie jamais,qu'elle soit mentale ou physique comme avec des scènes de combats contre saigneurs, bersekirs, prisonniers ou eux-mêmes, l'action est omniprésente et, lorsqu'on croit que tout redevient calme, un nouvel événement vient perturber le récit.
Le seul point négatif que je puisse citer est sa fin. Je la trouve un peu courte et énigmatique quant à ce qu'il se passera après, mais elle reste tout de même, à l'image du livre, exceptionnelle.
En bref, Le roi des fauves est un très bon livre à l'ambiance glaciale et très sombre, ou les termes d'humains et d'humanité prennent tout leur sens. Il mélange combat physique et psychologique, tout en nous gardant captivé du début à la fin, et entièrement immergé dans l'histoire grâce au style de l'auteur.
4,25/5.
La première chose que j'ai vu du Roi des Fauves est sa tranche. le titre m'a plu, avec ses deux lettres majuscules rouges, presque menaçantes. Intriguée, je m'en suis saisi, et sa couverture qui m'a charmée, envoûtée. L'illustration d'Aurélien Police est proprement superbe : sombre, mystérieuse, magnifique. Au point que j'aurais peut-être pu craquer pour ce livre pour ces seules raisons. Mais non, j'ai quand même jeté un oeil au résumé. Promettant un récit tout aussi sombre et intriguant que ce que me susurrait sa couverture, il n'en a cette fois pas fallut plus pour l'emporter avec moi !
Et c'est ainsi que je me suis retrouvée à suivre les aventures d'Ivar, de Kaya et d'Oswald, condamnés à se transformer en berserkir pour les crimes qu'ils ont commis, à moins qu'ils ne trouvent le Roi des Fauves, seul capable d'arrêter la métamorphose.
Si j'ai beaucoup aimé l'histoire, adoré même au point de frôler le coup de coeur pour une -très ?- grande partie du livre, j'ai été légèrement déçue par la fin. J'aurais espéré peut-être un poil plus de relief, ou d'action, je ne sais pas, il manquait un tout petit quelque chose. Et j'aurais voulu aussi que quelques points soient un peu plus développés. Certains personnages aussi, disparaissent pendant des pans entier du roman, avant de refaire une courte apparition, et si je ne m'en rendais pas toujours compte durant la lecture, prise par l'histoire et la plume, c'est tout de même légèrement dommage dans certain cas.
Mais si j'ai aimé l'histoire, c'est cependant surtout la plume d'Aurélie Wellenstein qui m'a séduite. Un joli coup de coeur, et une belle découverte à ce niveau ! Poétique, j'imaginais parfaitement les scènes, les couleurs et les paysages qu'elle décrivait. Et lorsque le récit ce fait plus sombre, c'est un style qui se fait tout aussi efficace et envoûtant. Oui, la beauté des mots et du récit est sans doute ce qui m'a le plus plu dans ce livre !
Quant aux personnages, mon avis à leur sujet est assez varié. J'ai bien aimé Ivar, et ce de plus en plus au fil des pages, à mesure qu'il évoluait et que les épreuves se présentaient. Une belle démonstration de courage et de loyauté !
Kaya en revanche, c'est un non, je n'ai pas réussi à l'apprécier. Déjà au début elle frôlait mon agacement, si bien qu'elle est devenue assez détestable au fil du livre, malgré un brusque changement vers la fin. Peut-être un peu trop brusque : si j'ai aimé ce changement, j'ai trouvé qu'il sortait un peu de nulle part, enfin surtout : trop soudainement.
Passons à Oswald ! Mon préféré du trio, avec son humour un peu noir, un peu morbide et décalé... Et aussi ma plus "grande" déception du bouquin. Même si on le voyait moins que les deux autres, je lui trouvais beaucoup de potentiel.
En revanche, pour ce qui est du bouc et du Roi des Fauves, je les ai beaucoup apprécié ! J'aurais aimé en apprendre encore un peu plus sur eux cela dit, mais ce sont tout deux des personnages que j'ai trouvé assez fascinant !
Cependant, malgré ces quelques déceptions -de lectrice parfois trop tatillon ?- apparues une fois le livre fermé, j'ai vraiment beaucoup aimé lire le Roi des Fauves. C'était une très belle lecture, proprement fascinante par moment, qui m'a beaucoup plu, notamment avec la référence au berseker et à la mythologie. Et si les points ci-dessus avaient été un poooil plus développé, il aurait même été un beau coup de coeur ! En tout cas, ça m'aura donné envie de lire encore la si jolie plume d'Aurélie Wellenstein, et de découvrir d'autres de ses romans !
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